Le Journal de Montreal - Weekend
DUMAS
Comment s’était passée votre première présence aux FrancoFolies?
C’était en 2001, en extérieur sur la petite scène de la rue Sainte-Catherine. Mon premier spectacle à Montréal, un spectacle où j’ai surtout appris, je dirais. Deux ans plus tard, je faisais mon premier Spectrum aux FrancoFolies avec Le cours des jours. Ce Spectrum restera marquant dans mon parcours. Le public chanta pour la première fois les paroles de J’erre et de Linoléum... Ce fut le début d’une grande aventure qui me mena sur la grande scène quelques années plus tard.
Qu’est-ce que ce festival francophone représente pour vous?
C’est un allié indispensable pour la chanson francophone. C’est un tremplin important pour la relève, qui accompagne les artistes tout au long de leur carrière. C’est ce qui est beau de la programmation: de nouveaux artistes qui côtoient des artistes établis, tous styles confondus, le tout en plein coeur de Montréal, ville francophone d’Amérique.
25 ans de FrancoFolies, c’est...
Beaucoup de bons souvenirs sur scène, mais aussi comme public. Je dois avoir vu au minimum 100 shows aux Francos en 12 ans!