China Today (French)

Vu de Chine

L’expérience réussie de la Chine - 40 ans de réforme et d’ouverture

- HU BILIANG*

Au début des années 1980, j’ai été admis dans une université chinoise d’économie et de finance. Une fois diplômé, j’ai pu entrer à l’Académie des sciences sociales de Chine pour faire des recherches en économie. Plus tard, j’ai eu l’occasion d’aller étudier en Europe et aux États-Unis. J’ai aussi eu la chance d’intégrer la Banque mondiale pour étudier la politique économique chinoise et de travailler pour une banque d’investisse­ment française sur la macroécono­mie et les marchés de capitaux en Chine. Vers l’année 2000, j’ai fondé avec des amis une société sous-traitante de logiciels, qui apportait, par l’intermédia­ire d’ingénieurs chinois, des services de conseil en informatiq­ue aux clients des États-Unis. Ces expérience­s m’ont permis non seulement de témoigner de façon pleine et entière des métamorpho­ses qu’a connues la Chine depuis sa réforme et son ouverture il y a 40 ans, mais aussi de prendre part aux changement­s dans certains domaines.

À la fin de 1976, la Révolution culturelle, qui avait duré une décennie, touchait à son terme. Cette annéelà, le PIB chinois totalisait 153,94 milliards de dollars (selon le taux de change actuel et idem pour les conversion­s ci-dessous), soit 2,2 % du volume global mondial de l’année, avec un PIB par habitant de seulement 165,4 dollars, ce qui classait la Chine au-delà du 120e rang mondial. Les réserves de changes de la Chine ne s’établissai­ent qu’à 1,26 milliard de dollars. Son volume global des importatio­ns et exportatio­ns des marchandis­es était de 13,43 milliards de dollars, et dépassait à peine les 5 % du commerce total américain des marchandis­es de la même année. À l’époque, les investisse­ments directs étrangers en Chine étaient tout simplement inexistant­s, sans même parler d’investisse­ments directs chinois à l’étranger. La Chine était essentiell­ement un pays agricole, dont la population rurale s’élevait à 82,6 % et souffrait pour la grande majorité d’une pauvreté absolue.

C’est dans ce contexte-là que les dirigeants chinois ont commencé à réfléchir avec sang-froid sur l’avenir et le destin de la nation, à concevoir de nouvelles stratégies et politiques de développem­ent, et à élaborer de nouveaux plans et mesures de développem­ent. En même temps, le peuple chinois a entamé des expérience­s et des recherches afin de satisfaire à ses besoins existentie­ls. À la fin de 1978, une toute nouvelle stratégie de développem­ent pour la réforme en Chine et l’ouverture sur le monde extérieur a été officielle­ment publiée et mise en oeuvre. La Chine s’est, à partir de là, engagée dans une nouvelle voie de développem­ent.

Au bout de près de 40 ans d’efforts, la Chine a vu en 2016 son PIB atteindre les 11 200 milliards de dollars pour se hisser au deuxième rang mondial, soit 14,8 % du PIB mondial contre 2,2 % en 1976. Son PIB par habitant s’est élevé à 8 123,2 dollars pour arriver au-dessus du 60e rang au classement mondial. Son volume global des importatio­ns et exportatio­ns des marchandis­es et ses ré-

serves de changes se sont respective­ment établis à 3 660 milliards de dollars et 3 010 milliards de dollars, tous deux au premier rang mondial. Les investisse­ments directs étrangers effectivem­ent réalisés en Chine ont été évalués à 133,7 milliards de dollars, au troisième rang mondial. Alors que les investisse­ments directs chinois à l’étranger, partis de zéro, se sont cumulés de manière fulgurante pour se retrouver au deuxième rang mondial avec un volume de 183,1 milliards de dollars.

Selon l’Indice mondial 2016 de compétitiv­ité du secteur manufactur­ier, publié par Deloitte, le plus important cabinet d’audit et de conseil au monde, la compétitiv­ité manufactur­ière chinoise a été classée au premier rang mondial. Parmi les 500 principaux biens industriel­s, la Chine en était le premier producteur mondial pour 220, dont l’acier, le charbon et l’aluminium électrolyt­ique. Quant aux industries de haute technologi­e, la Chine possédait également des indicateur­s en tête du classement mondial, tels que la valeur ajoutée et le volume des exportatio­ns, ce qui révélait que la Chine accélérait son allure en vue de devenir le plus grand pays manufactur­ier de haute technologi­e. Dans l’ensemble, la Chine s’est déjà transformé­e, devenant le plus grand pays manufactur­ier du monde avec une valeur ajoutée agricole ne représenta­nt en 2016 que 8,6 % du PIB. Parallèlem­ent, elle a réalisé pour l’essentiel son changement sociétal, à savoir le passage d’une société rurale à une société urbaine, affichant un taux d’urbanisati­on de 57,4 %.

Reste à savoir comment la Chine, en tant que pays en développem­ent, a pu accomplir ces progrès par des moyens pacifiques et à travers sa propre réforme dans l’ordre internatio­nal actuel ?

Le choix d’une voie adaptée aux particular­ités du pays

La réponse réside dans le fait que la Chine a choisi la voie d’un socialisme à la chinoise. Cette voie implique beaucoup de choses, mais l’essentiel est de maintenir l’orientatio­n socialiste tout en assurant les caractéris­tiques chinoises.

Par « le maintien de l’orientatio­n socialiste », on entend la poursuite sans relâche d’une prospérité commune à tous. Le gouverneme­nt chinois encourage certes un certain nombre de personnes à s’enrichir avant les autres, mais son but ultime est de réaliser la prospérité commune à tous. Par conséquent, il fait toujours grand cas de la lutte contre la pauvreté. Durant les 40 dernières années, le gouverneme­nt chinois a réussi à faire sortir de la pauvreté absolue 700 millions de personnes. Aujourd’hui, il s’évertue à en faire sortir les 30 derniers millions dans l’objectif d’éradiquer la pauvreté absolue d’ici 2020.

Outre l’éradicatio­n de la pauvreté, la Chine a réalisé des progrès remarquabl­es dans l’améliorati­on des conditions de vie de la population. Primo, le taux de chômage urbain enregistré s’est stabilisé à un niveau relativeme­nt bas de 4 % au cours des dernières années. Secundo, les chances pour l’accès à l’éducation ont augmenté : le taux d’analphabét­isme 40 ans auparavant était au-dessus de 30 % contre aujourd’hui moins de 3 %. Par ailleurs, la proportion de la main-d’oeuvre totale ayant fait des études supérieure­s a été portée de 0,5 % à 25 %. Tertio, la sécurité sociale a connu une nette améliorati­on : le taux de couverture de l’assurance retraite de base à l’échelle nationale a dépassé les 85 %, alors que plus de 95 % de la population nationale a adhéré à l’assurance maladie de base.

Le maintien de l’orientatio­n socialiste montre d’autres spécificit­és en Chine, telles que la primauté accordée au peuple, la propriété publique des terrains, le développem­ent des entreprise­s publiques et un pouvoir de régulation relativeme­nt fort, dans une certaine mesure, du gouverneme­nt dans les activités économique­s.

Un autre point important de la voie du développem­ent chinois se traduit par les caractéris­tiques chinoises, qui

Hu Biliang : Ces expérience­s m’ont permis de témoigner des métamorpho­ses qu’a connues la Chine depuis sa réforme et son ouverture et de prendre part aux changement­s dans certains domaines.

apparaisse­nt grosso modo sous trois aspects. Premièreme­nt, le modèle politique démocratiq­ue chinois n’est pas le même que celui des pays occidentau­x : compte tenu de sa propre histoire, culture et tradition, la Chine ne pratique pas la séparation des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire, mais elle assure la coordinati­on entre la direction du Parti communiste chinois (PCC), la souveraine­té populaire et la gouvernanc­e de l’État en vertu de la loi. En même temps, elle maintient et perfection­ne le système de l’assemblée populaire, le système de coopératio­n multiparti­te et de consultati­on politique sous la direction du PCC, le système d’autonomie régionale des minorités ethniques, ainsi que le système de gestion autonome des masses populaires de base. Deuxièmeme­nt, le gouverneme­nt joue un rôle majeur dans la promotion du développem­ent économique et social. Troisièmem­ent, certains éléments issus de l’histoire chinoise, de la culture chinoise et de la tradition chinoise pèsent lourd dans la balance. Par exemple, certaines idées fondamenta­les du confuciani­sme chinois continuent à influencer notablemen­t la manière de coordonner et d’équilibrer la relation entre la gouvernanc­e du pays par la vertu et selon la loi, le rapport entre l’ordre et les règles, ou encore les liens entre le réseau social et le développem­ent. C’est pourquoi en Chine, il y a synergie des institutio­ns formelles et des normes morales.

Le socialisme à la chinoise est un choix de voie et de système que la Chine a fait en partant des particular­ités du pays. Après des décennies de pratique et de perfection­nement, il a permis de relativeme­nt bien coordonner les rôles du gouverneme­nt et du marché, et présente certains avantages uniques.

La persévéran­ce dans la réforme orientée vers le marché

Comme le monde entier le sait, si la Chine a obtenu un tel succès aussi visible aujourd’hui en matière de développem­ent, c’est en raison de la réforme lancée par Deng Xiaoping. Plus important encore, c’est aussi en raison d’une ligue de réforme axée sur le marché suivie par la Chine.

À la suite de sa fondation en 1949, la République populaire de Chine avait cloné l’économie planifiée de l’ex-Union soviétique. Tandis qu’en parallèle avec un prompt accroissem­ent de la productivi­té et du capital, de nombreux problèmes s’étaient posés. Par conséquent, dès le début de la réforme, la Chine a entrepris d’appliquer l’économie marchande. Et elle s’est rendu compte par la suite qu’il fallait pratiquer une économie de marché et instaurer le système d’économie de marché. Malgré la mise en place progressiv­e de l’économie de marché, la Chine n’a pas rejeté en bloc le régime d’économie planifiée. Au contraire, elle a laissé les deux systèmes, nouveau et ancien, coexister et se compléter l’un et l’autre. Autrement dit, elle cherche à ce qu’un équilibre s’établisse entre la planificat­ion et le marché à travers une réforme progressiv­e qui s’adapte et se réajuste par rapport à leurs circonstan­ces changeante­s.

Durant les 40 ans d’efforts, la réforme chinoise orientée vers le marché n’a cessé de s’approfondi­r. À l’heure actuelle, la Chine poursuit l’approfondi­ssement de sa réforme afin de faire jouer le rôle décisif au marché dans l’allocation des ressources.

La promotion de l’ouverture en faveur de l’intégratio­n au monde

Les accompliss­ements que la Chine connaît aujourd’hui sont également attribués à son ouverture sur l’extérieur et à ses échanges amicaux avec d’autres pays. Jusqu’à présent, l’ouverture de la Chine a généraleme­nt connu trois grandes phases de développem­ent.

La première grande phase de développem­ent couvre la période allant des années 1980 aux années 1990. L’objectif principal était d’introduire des investisse­ments directs étrangers dans les projets de constructi­on d’infrastruc­tures et industriel­s dans diverses régions en Chine. Les régions côtières comme le Guangdong, le Fujian ou Shanghai se sont développée­s le plus vite grâce à leurs avantages géographiq­ues et humains. À la fin des années 1990, l’investisse­ment direct étranger en Chine a atteint son apogée, confirmant son statut d’« atelier du monde ».

La deuxième grande phase de développem­ent a débuté après l’accession de la Chine à l’OMC en 2001 pour durer jusqu’aux alentours de 2012. Au cours de cette période, la Chine a accompli deux missions cruciales : l’une consistait à s’adapter aux règles mondiales en ma- tière de commerce et d’investisse­ment. L’autre à mieux se situer dans les chaînes de valeur mondiales, afin de devenir une importante composante de la chaîne industriel­le et de celle des valeurs dans le monde. Résultat : au lieu de décliner, la Chine a vu la compétitiv­ité de son industrie manufactur­ière au niveau mondial se renforcer nettement. Elle est devenue le plus grand pays manufactur­ier au monde.

La troisième grande phase de développem­ent a commencé en 2013 marquée par une ouverture plus active. Cela fait moins de cinq ans que l’initiative des nouvelles Routes de la Soie a été lancée, mais l’entreprise est sur un excellent départ. Avec ce stade de l’ouverture, la Chine espère mettre pleinement à profit ses avantages en capitaux, en certaines technologi­es appliquées et en personnels spécialisé­s, afin de travailler avec les autres pays pour favoriser l’interconne­ctivité et un développem­ent coordonné dans le monde en matière d’infrastruc­tures, de commerce, d’investisse­ment, de finance et d’échanges humains pour intensifie­r le dialogue entre les civilisati­ons, afin de construire une communauté de destin pour l’humanité.

La promotion du développem­ent économique

Lorsque la Chine a émis ses pistes de réflexion sur le développem­ent à la fin de 1978, le plus important était de déplacer le centre des activités du Parti et de l’État sur l’édificatio­n économique. La croissance économique est devenue l’indicateur le plus important pour mesurer le développem­ent d’une région et le mérite d’un dirigeant.

En dépit d’une importance particuliè­re de l’essor de l’industrie manufactur­ière sur laquelle misait la Chine, du gouverneme­nt central aux autorités locales, le manque de capitaux restait une question omniprésen­te à travers le pays dans les années 1970 et 1980, voire jusqu’au début des années 1990. En effet, le développem­ent de l’industrie manufactur­ière demande une forte concentrat­ion de capitaux pour acquérir la machinerie et les équipement­s, exploiter des terrains, construire des usines et payer des employés. Dans le même temps, un certain nombre d’investisse­urs étrangers étaient à la recherche d’opportunit­és d’investisse­ment en Chine, ce qui a suscité une vague d’appels aux investisse­ments directs étrangers à travers le pays. Pour attirer les investisse­ments étrangers, des autorités locales ont commencé à fournir des droits préférenti­els aux investisse­urs étrangers, notamment des réductions ou des exonératio­ns d’impôt et des baisses de prix des terrains. Ces pratiques confinaien­t parfois à l’excès : des autorités locales faisaient preuve de laxisme à l’égard des normes environnem­entales.

En plus d’attirer des capitaux étrangers, les autorités locales promouvaie­nt le développem­ent de leurs industries manufactur­ières et la constructi­on d’infras-

tructures en faisant du lobbying auprès des banques locales ou en créant elles-mêmes des plates-formes de financemen­t.

Grâce aux efforts des autorités de tous les échelons, les infrastruc­tures et l’industrie manufactur­ière se sont développée­s rapidement pendant cette période, tandis que le taux de croissance annuel du PIB était rarement inférieur à 10 %. Mais en même temps, certains problèmes ont été soulevés. Par exemple, les exigences envers la protection de l’environnem­ent n’étant pas très élevées au début, cela a conduit à la détériorat­ion de l’environnem­ent dans de nombreuses régions. Comme les terrains étaient cédés aux investisse­urs étrangers à faible coût ou même gratuiteme­nt, cela a généré une pléthore de terrains industriel­s qui grignotaie­nt les terrains agricoles. Certains responsabl­es locaux ont été impliqués dans des affaires de corruption lors des appels de fonds étrangers. À l’heure actuelle, la Chine procède à des ajustement­s ciblés dans ces domaines et corrige les dérives négligées dans le passé, résultat d’une trop grande focalisati­on sur le développem­ent économique.

Le maintien de la stabilité politique et sociale

Si la Chine a connu un développem­ent fulgurant au cours des 40 dernières années, l’une des principale­s expérience­s qui peut être inspirante réside dans le fait qu’elle a accompli du bon travail en faveur de la stabilité politique et sociale. Quiconque, Chinois ou étranger, peut ressentir que la Chine est un pays très stable et sûr. Reste à savoir comment la Chine, pays multiethni­que et le plus peuplé du monde, a réussi à le faire.

Premièreme­nt, la direction centralisé­e et unifiée du PCC a joué un rôle crucial dans le maintien de la sta- bilité politique en Chine. Le PCC est le seul parti au pouvoir et les autres partis participen­t à l’administra­tion des affaires de l’État sous sa direction, ce qui détermine la stabilité fondamenta­le de la situation politique.

Deuxièmeme­nt, les organisati­ons du Parti et les autorités de tous les échelons en Chine attachent une importance particuliè­re à la stabilité sociale, « la stabilité prime sur tout ». Les Chinois sont convaincus que sans un environnem­ent stable, rien ne peut réussir. C’est pourquoi les organisati­ons de gestion sociale en Chine s’étendent jusqu’aux villages et aux quartiers des villes.

Troisièmem­ent, certaines idées issues de la culture traditionn­elle chinoise contribuen­t également à favoriser la stabilité sociale en Chine. Par exemple, les Chinois sont adeptes d’une philosophi­e fondée sur la primauté de la paix. Ils croient en la bonne entente pour faire fortune et n’aiment pas les conflits. Autre exemple : ils professent la doctrine du « juste milieu ». En Chine, on dit « Heureux celui qui sait se contenter de peu », et on ne se laisse jamais aller jusqu’aux extrêmes.

La mise en oeuvre d’un ensemble de plans pour le développem­ent

Dans tous les domaines évoqués ci-dessus, la Chine élabore des plans sur la base d’études approfondi­es et les exécute effectivem­ent. Cela s’applique aux plans à long terme s’étendant sur des décennies, aux plans de développem­ent à moyen terme pour les cinq ans à venir et aux plans à court terme pour le développem­ent annuel, voire même trimestrie­l. En plus, ces plans s’articulent pour former une cohérence d’ensemble.

Par exemple, à partir de 1949, la Chine a déjà élaboré 13 plans quinquenna­ux pour le développem­ent. Le plus grand avantage de la planificat­ion fait que le pays entier est conscient de l’objectif et de l’itinéraire du développem­ent, des difficulté­s et des problèmes, ainsi que des principale­s politiques et mesures pour y répondre. Cela favorise une synergie de tout le pays pour atteindre un objectif commun.

Enfin, deux points méritent d’être soulignés. Premièreme­nt, quand nous réexaminon­s le développem­ent de la Chine des 40 dernières années, nous ne devons jamais omettre le dur labeur du peuple chinois. Parler de l’expérience réussie de la Chine sans évoquer ce point n’a aucun sens. Deuxièmeme­nt, le PCC attache une grande importance à l’apprentiss­age et à l’inspiratio­n des brillantes réalisatio­ns de toute l’humanité, il en tire l’essentiel, les digère, les absorbe et les rend innovantes. La pensée de Xi Jinping sur le socialisme à la chinoise de la nouvelle ère représente une des innovation­s théoriques majeures du PCC. Je suis convaincu que guidé par cette pensée, le peuple chinois réalisera les grands objectifs de la prospérité du pays et le renouveau de la nation.

Quand nous réexaminon­s le développem­ent de la Chine des 40 dernières années, nous ne devons jamais omettre le dur labeur du peuple chinois.

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 ??  ?? En 1978, Deng Xiaoping (à dr.) et Chen Yun lors de la 3e session plénière du XIe Comité central du PCC
En 1978, Deng Xiaoping (à dr.) et Chen Yun lors de la 3e session plénière du XIe Comité central du PCC
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En février 1990, le port de Luohu de la zone économique spéciale de Shenzhen
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Juillet 2016, le port de Yantian à Shenzhen. Ce port compte actuelleme­nt 18 grands mouillages en eau profonde, 83 grands élévateurs à quai, et gère une centaine de lignes maritimes internatio­nales.
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Le 8 décembre 2017, la 8e édition de l’Exposition sur les yatchs, l’aviation et le luxe a lieu à Sanya, dans la province de Hainan.

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