La série noire continue pour Kristina Mladenovic Rien ne sert de courir, il faut partir à point d’heure
Certains runners préfèrent sortir quand tout le monde dort
Tête de série numéro 1 du tournoi de Tokyo, Kristina Mladenovic a été éliminée dès le premier tour, mercredi, par la Croate Jana Fett. La Française (15e mondiale) vit un été très compliqué puisqu’elle avait été sortie au même stade de la compétition à Toronto, Cincinnati, New Heaven et à l’US Open, fin août.
VOLLEY
où il se retrouve seul. Durant ses pérégrinations, Zak n’a jamais croisé d’autres runneurs de son espèce. Un moment privilégié qui lui permet de se concentrer sur lui. « Quand Paris est endormi, privé de son effervescence alors que je suis en activité, je vois la ville différemment, analyse le runner. Je peux m’approprier les rues, les espaces, aller où je veux sans avoir à réfléchir. Je peux ouvrir les bras et courir sans m’arrêter. » Même s’il a du mal à mettre des mots sur ce que lui procure cette activité nocturne, Zak reconnaît volontiers que c’est « plus dur de se motiver quand il est minuit ou une heure du matin. T’as la tentation d’aller te coucher, tu te demandes pourquoi tu vas te faire chier à aller courir. » Mais c’est ce qu’il aime, ce qui lui donne le sentiment de se dépasser : « Je sors de mes habitudes, de ma zone de confort. J’ai la sensation de pratiquer plus intensément mon sport. »