FIDÈLE AU PAJERO
Fidèle à la marque Mitsubishi et plus encore au Pajero dont je possède un modèle récent, la lecture de votre dernier numéro me fait encore plus regretter sa disparition. Je partage en effet complètement l’avis de votre journaliste sur le plaisir de cette conduite tout-terrain « à l’ancienne », sans assistance électronique. Je suis également d’accord avec lui quand il explique que, si le Pajero laisse aujourd’hui la place au pick-up en tant que véhicule de franchissement, ce dernier est bien loin d’offrir le même agrément sur la route. La fiscalité a tué ce véhicule, mais en ce qui me concerne, je continuerai le plus longtemps possible à rouler en Pajero !
Croyez bien qu’à la rédaction, nous regrettons aussi beaucoup la disparition de ce Mitsubishi, et nous comprenons votre volonté de continuer à utiliser le vôtre le plus longtemps possible. Cela devrait être relativement facile, puisque le modèle actuel continue sa carrière sur d’autres marchés où la fiscalité est moins lourde que dans l’Hexagone. Une assurance de disposer de pièces durant encore pas mal d’années. Quant au pickup, la philosophie utilitaire de ce type de véhicule, avec châssis séparé et essieu rigide à l’arrière, ne peut permettre d’offrir les mêmes prestations. Toutefois, cela évolue, comme le prouve le Mercedes Classe X essayé dans ce numéro.