L'officiel Hommes

MASTER PEACE, RAPPEUR À LA SAUCE POP

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L’officiel Hommes: Quels sont vos premiers souvenirs musicaux?

Master Peace : No Doubt, Nirvana, Oasis… ces groupes trouvaient en moi une résonance. C’était ainsi que je voulais que ma musique sonne.

D’où viennent vos chansons?

Elle viennent de l’artiste, de l’expérience, des choix de vie, de l’imaginatio­n, de la vérité.

Quel élément déclenche l’écriture ? Un beat, une mélodie, une pure projection mentale?

En ce qui me concerne, de la mélodie. Mais il n’y a pas de règle.

Qui sont vos modèles?

Les Doors, Nirvana, The Weeknd, les Beach Boys, The 1975 et Christine and the Queens.

Préférez-vous que les gens rêvassent ou dansent en vous écoutant?

Je préfère que les gens en fassent ce qu’ils veulent. Ma musique est joyeuse, triste, et exprime toutes les émotions entre ces deux pôles.

Rêvez-vous de musique?

Incroyable. Inexplicab­le…

Quelles chansons auriez-vous aimé avoir écrites ?

Come as You Are, de Nirvana ; The Universal, de Blur ; Don’t Speak, de No Doubt ; Paris, de The 1975 ; Light My Fire, des Doors ; The Scientist, de Coldplay.

Qui sont vos auteurs préférés?

Chris Martin (Coldplay), Kurt Cobain, Matt Healy (The 1975).

Quel adjectif aimez-vous voir associé à votre musique ?

J’aime “pop”. Et aucun ne me déprime.

Quel est votre son préféré?

Celui du crissement d’une guitare.

Quelles sont les autres formes d’art qui vous inspirent ?

Le théâtre. Les acteurs.

Les réseaux sociaux ont certes permis l’émergence d’artistes, mais ils rendent aussi plus difficile de se distinguer, tant l’offre est désormais illimitée. Est-ce que ce contexte rend plus excitante la création ?

Pas vraiment. Je sais que les gens qui me suivent aiment ce que je fais, je ne me sens pas en compétitio­n.

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