Des liquoreux d’une richesse folle
n n’avait pas vu cela à Climens depuis 1986 ! Une production de 25 hectolitres par hectare, soit le double d’une année normale. En 2005, le vin a terminé avec 170 grammes de sucre, du jamais vu pour ce 1er cru classé Barsac. Quantité, qualité et concentration sont les marqueurs d’un millésime qui a eu du mal à terminer ses fermentations. Que faire alors avec un vin aussi riche ? Pour la propriétaire du château Climens, Bérénice Lurton, il faut le marier avec des plats épicés, et surtout arrêter de le cantonner aux fêtes.
O, confe-t-elle. R. P.