1993
d’une grande pureté florale et des saveurs de fruits blancs tout en s’aventurant doucement vers des notes plus appuyées de fruits secs. Dégorgement octobre 2008. Voilà un millésime à part qui donne une image précise de la fameuse minéralité du champagne, terme souvent galvaudé dans les commentaires de dégustation. Son jus est froid, épuré et structuré par de fins tanins qui évoquent la craie et qui, avec l’âge, s’habillent de saveurs de morille et de noix. Ce grand champagne de table signe un bel accord avec des ris de veau aux morilles. Dégorgement février 2003.