Thierry Metroz, directeur du style DS.
signature lumineuse ne manque pas non plus de chien : son motif tridimensionnel en forme d’écailles a été annoncé par l’étude DS Divine de 2014 (voir “L’A.M.” n° ) . Mais c’est surtout sur l’intérieur du DS 7 que l’on a envie de s’attarder. Au programme, cinq ambiances différentes : “On appelle cela l’hypertypage, explique Sabine Le Masson- Pannetrat, responsable couleurs et matières de DS. Il s’agit de coller au plus près à l’attente des clients. C’est aussi notre façon d’exprimer ce qu’est une marque haut de gamme.” Cette personnalisation “de série” est un défi industriel : “Nous devons négocier avec les designers pour qu’ils nous mettent à disposition des surfaces pouvant être gainées facilement, ce qui permet de décliner plusieurs cuirs ou matières souples. Nous élargissons ainsi l’offre de zones personnalisables à différents endroits du véhicule.” Et les designers ne sont pas les seuls qu’il faut convaincre : un simple changement de couleur sur la ceinture de sécurité, par exemple, engendre une homologation supplémentaire. En effet, le pigment utilisé est susceptible de modifier la capacité d’absorption de la ceinture, un risque impossible à prendre en cas d’accident !