■LIMAY
Une erreur s’est glissée dans l’article sur l’inauguration du groupe scolaire Maurice-Quettier, paru la semaine dernière. Il était écrit que la chaudière avait coûté 7 millions d’euros. Il était question, bien évidemment, du prix global du bâtiment.
Le dossier du Cac de Mantes fait réagir à Limay. La décision de la ville de Mantesla-Jolie de mettre un terme à la convention qui la liait au Centre culturel Brassens, qui prive donc la structure d’une subvention de 330 000 euros, provoque des remous de l’autre côté de
la Seine. « Sans remettre en cause ce choix qui relève de l’autorité légitime de la municipalité voisine, nous déplorons néanmoins la perte d’un partenaire culturel très actif sur Mantois et mais aussi au demeurant l’emploi d’une dizaine de salariés et 500 musiciens désormais en désuétude », réagit Denis Bouré, adjoint à la culture à Limay, qui s’inquiète aussi d’une éventuelle reprise en main de la politique culturelle à Mantes et à ses conséquences sur le service offert au public. « Nous nous interrogeons également sur le sort réservé à la quarantaine d’associations hébergées dans les locaux du centre d’action culturelle », ajoute-t-il.