Le Penthièvre

La famille de Maroué sous le charme

- Frédéric Olanier (CLP)

Fabien, Maud et ses enfants voient le moulin tous les jours. « On avait envie de découvrir l’interieur » dit la petite famille venue de Maroué.

À Lamballe, il y a la collégiale, le haras et… le moulin de SaintLazar­e. À l’ouest de la ville, on ne peut manquer l’édifice, visible à quelques kilomètres à la ronde avec ses ailes déployées au som- met de la butte Saint-Lazare. Le moulin éponyme n’ouvre que deux jours par an, lors des journées du patrimoine. La visite vaut pourtant le détour, ne serait-ce que pour la vue.

Restauré au début des années 70 par la Ville, le moulin de Saint-Lazare a longtemps été le siège de l’amicale laïque. Depuis une vingtaine d’années, ce sont les Chevreuils, une associatio­n de quartier, qui l’occupent. Le moulin à vent est donc devenu le local de cette associatio­n plus vraiment active. Au premier étage se tiennent les réunions. Le second est reconverti en local de rangement.

300 visiteurs pour le patrimoine

Les fenêtres laissent apercevoir un joli panorama sur la ville et la campagne aux alentours. Au troisième, sous les combles, sont abrités le mécanisme des ailes, la machine à moudre. Mais ce niveau n’est pas ouvert au public. Près de 300 personnes ont pu profiter de la visite de ce monument emblématiq­ue de la capitale de Penthièvre le weekend du patrimoine, 20 seulement le samedi après-midi, tous les autres le dimanche. Suite à ce succès, le moulin ne mériterait-il pas d’être ouvert un peu plus souvent ?

Sous les ailes, un local associatif

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LAMBALLE. Fabien, Maud et les enfants Soren et Lison au 2e étage du moulin Saint-Lazare.
 ??  ?? LAMBALLE. Marie-Annick et Mimie des Chevreuils, l’associatio­n de quartier en charge du moulin Saint-Lazare.
LAMBALLE. Marie-Annick et Mimie des Chevreuils, l’associatio­n de quartier en charge du moulin Saint-Lazare.

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