Les jours du charbon sont comptés
La moitié des quinze dernières centrales thermiques du pays ont fermé fin juin. Dans les Asturies, région à forte tradition minière, la population redoute les conséquences économiques.
« Moins on pollue, mieux c’est, pose en préambule Frán Gómez, superviseur de maintenance à Soto de la Barca. Mais il faut des alternatives ! Les gens ne se rendent pas compte de l’impact à La valléevivenir. vait de la centrale, elle mourra sans elle. »
Sentiment d’abandon partagé par María Luisa dés, 52 ans, porte-parole d’un collectif opposé à la fermeture.