VENDUS

4-pièces :

Rue Barla, 2e ét. imm. années 1930, 85 m2, 275 000 € (3 250 €/m2).

Rue de Russie, 5e ét. imm. années 1980, 90 m2, 280 000 € (3 100 €/m2). Mont-Boron, dernier étage, résidence avec piscine, 90 m2,

60 m2 de terrasse, 950 000 €. ciens seront perdus en 2020 – sans compter l’impact de la crise sanitaire et sociale qui ébranle notre pays. »

Ces bataillons de primo-accédants sont également au coude-àcoude avec des investisseurs en quête de programmes neufs. « C’est la première fois de ma longue carrière que je vois des clients ayant envie de passer à l’action mais trouvant peu de produits, et pouvant difficilement emprunter », regrette Philippe Jossé, président du pôle logement d’Altarea. «Le Covid a dopé le désir de maison, rêve numéro un des Français, toujours aussi ancré dans leur ADN. Mais pour qu’ils passent à l’acte, c’est une question de pouvoir d’achat, souvent lié au financement », remarque Loïc Vandromme, secrétaire général d’Hexaom (ex-Maisons France Confort), leader du secteur de la construction de maisons individuelles.

Plan de relance. « À Bordeaux, où le prix du neuf varie du simple au double, les candidats locaux primo-accédants doivent le plus souvent s’expatrier extra-muros (Bègles, Pessac, etc.) ou rester locataires dans le parc privé de la capitale girondine », déplore Pierre Vital, codirecteur d’Ideal Groupe et président de l’Observatoire immobilier du SudOuest. « Dans les régions, l’investissement locatif tire une grosse partie de l’activité promotionnelle. Le secrétariat d’État au Logement, qui dépend du ministère de l’Écologie,

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Force de la demande

20 % 11 % 5 % 10 % 8 % 12 % 11 % 21 % 22 % 13 % 13 %