CAMBADÉLIS A FAIT SES CALCULS
Si les frondeurs parvenaient réellement à déposer une motion de censure après l’adoption finale de la loi travail au moyen de l’article 49.3 comme l’ont évoqué Aurélie Filippetti (photo) et Benoît Hamon, le gouvernement Valls ne serait pas menacé. Pour atteindre la majorité de 289 députés, requise pour adopter la motion de censure, il faudrait que toutes les voix de la droite et du centre sans exception s’ajoutent à celles des frondeurs, du Parti de gauche et des écologistes. Un scénario jugé totalement improbable.