JEAN-PASCAL GROSSO
Journaliste actif, souvent entre deux avions, éternellement à court d’argent, noceur mélancolique, cinéphile, célinien, COLLECTIONNEUR IRRAISONNÉ D’AFFICHES DE cinéma, Jean-pascal Grosso termine son premier (long) roman sur la chute d’un COMÉDIEN FICTIF DANS LES ANNÉES 1980. IL a croisé Melvil Poupaud deux fois dans
sa vie : “Jeune homme, à la buvette de l’élysée-montmartre, un soir de bamboche carioca. Bien plus tard, à la fête des 35 ans du prix Romy Schneider. Acteur très compétent, affable, réfléchi. Et, j’imagine, compagnon de bar excellent.” Et une troisième fois, donc, à l’occasion de ce portrait pour L’officiel Hommes.