Quatre critères de choix
La puissance de l’unité intérieure doit correspondre au volume et au type de pièce à chauffer ou à rafraîchir. Les fabricants proposent désormais des modèles de petite puissance, adaptés aux faibles besoins de chauffage et aux petits espaces (à partir de 1,5 kW pour un multisplits Daikin).
Un climatiseur Inverter est à choisir dans tous les cas. Cette technologie permet de moduler la puissance du climatiseur en fonction de la demande. Trois avantages : un meilleur confort (température plus stable), une durée de vie allongée et surtout une consommation d’énergie réduite au minimum (jusqu’à 30 % d’économies par rapport à un climatiseur classique).
Les températures extérieures hivernales entrent dans la sélection. Des modèles fonctionnent jusqu’à - 15 °C sans baisse de puissance (technologie Hyper Heating de Mitsubishi Electric, par ex.), et leur fonctionnement est garanti jusqu’à - 25 °C. Pour les autres, le fonctionnement est garanti jusqu’à - 15/- 20 °C, mais sans maintien de puissance.
Le niveau sonore est à étudier de près. Celui de l’unité extérieure, bien sûr, dont l’emplacement doit être choisi pour limiter les nuisances auprès de l’utilisateur… et de ses proches voisins. Mais également celui des unités intérieures. En mode silence, les muraux les plus silencieux affichent une puissance sonore de 20 décibels en moyenne (Hitachi précise qu’une puissance sonore de 21 dB(A) équivaut à une puissance acoustique, requise par la directive européenne ErP, de 51 dB(A)).