BELLES DE MAC
Etudiantes, salariées ou femmes au foyer, celles qu’on appelle les « cam-girls » sont de plus en plus nombreuses à se dénuder devant leur ordinateur, depuis leur chambre à coucher. Plongée de l’autre côté de l’écran.
L’affaire a créé un joli scandale au sein de la très sérieuse université d’Oregon, aux Etats-Unis. Le 24 octobre dernier, Kendra Sunderland, étudiante de 19 ans aux longs cheveux blonds, jean noir et top moulant, entame discrètement, depuis la bibliothèque, un discret visiochat. Inscrite, en parallèle de ses études, sur le site de webcams-sexy MyFreeCams, Kendra dévoile furtivement sa poitrine, avant de se caresser devant la caméra, prenant garde de ne pas attirer l’attention des autres élèves qui déambulent à quelques mètres d’elle. De l’autre côté de l’écran, ce sont des milliers de spectateurs qui l’invitent à aller toujours un peu plus loin dans l’effeuillage en échange de « tokens », monnaie virtuelle