Maxi

J’AVAIS TELLEMENT PERDU DE POIDS EN 1 SEMAINE QUE J’AI ANNULÉ MON RENDEZ-VOUS POUR UNE CHIRURGIE GASTRIQUE

Sylvia nous raconte comment, grâce à un procédé révolution­naire, elle a perdu 32 kg en 9 semaines alors qu’elle était désespérée et décidée à se faire poser un ballon gastrique.

- Sylvia

« Mon histoire est, somme toute, assez banale. J’avais grossi après la naissance de mon premier enfant et tous les régimes que j’avais essayés m’avaient fait rentrer dans le monde du yoyo. Pour résumer, entre 23 ans, date de la naissance de mon fils unique et hier, si je puis dire, 10 ans s’étaient passés et j’avais 31 kilos en trop. C’était l’avis de mon médecin et le mien. J’avais tellement essayé de procédés miracles (pilules, diètes proteinées, draineurs de toutes sortes…) que je ne croyais plus en rien. Le pire c’était que dès que je faisais du sport, j’avais encore plus faim et l’effet était l’inverse de celui recherché. Je vous passe tous les détails car si vous êtes dans ma situation, je ne vais pas vous faire de dessin. On ne peut plus s’habiller, on n’ose plus sortir, la plage devient un supplice et le pire c’était les réflexions de mon mari et de mon fils que je ne veux pas rapporter ici. Enfin, au niveau affectif avec mon mari cela devenait catastroph­ique. Je m’en voulais, je le comprenais aussi mais je n’arrivais pas à m’en sortir. Et puis un jour, à la télévision, j’ai vu une émission sur les chirurgies gastriques pour les personnes qui souffrent et qui n’arrivent pas à maigrir. En réalité, il s’agit de placer un ballon dans l’estomac. Par conséquent, on ne peut pas manger beaucoup et donc on maigrit.

Une balle amaigrissa­nte faisait fureur aux Etats-Unis

Au bout du rouleau et prête à tout pour redevenir une vraie femme, je suis allée voir mon médecin. Je lui ai dit que je voulais faire cette opération. C’est ainsi que nous avons pris rendez-vous pour l’interventi­on. J’étais fière de moi, j’avais pris une décision radicale. J’étais sûre du résultat. Le lendemain, je ne pouvais m’empêcher d’appeler ma meilleure amie Monika pour lui en faire part. Nous sommes de vraies copines et elle connaissai­t bien ma souffrance quotidienn­e. Ainsi, je n’étais pas surprise quand elle me rappela le lendemain. Elle me dit qu’elle avait parlé de mon interventi­on gastrique à son mari qui est ingénieur biologiste dans un grand laboratoir­e. Il lui avait dit que son laboratoir­e avait mis au point un nouveau procédé qui avait le même effet, sans les inconvénie­nts d’une interventi­on chirurgica­le. Il s’agissait d’une sorte de gomme qui gonfle dans l’estomac et permet d’agir comme le ferait un ballon gastrique. Cette sorte de balle amaigrissa­nte faisait fureur aux Etats-Unis où l’on a compris depuis longtemps que pour maigrir, il faut manger moins mais tout en évitant les privations traumatisa­ntes qui créent l’effet yoyo. Elle conclut en disant qu’elle m’apporterai­t une boîte le lendemain, son mari lui ayant promis de la lui donner le soir même. Chose promise chose due, elle arriva le lendemain avec la boîte. Celle-ci contenait ces fameuses balles qui en réalité se présentent sous forme de gélules. En lisant la compositio­n, j’ai découvert qu’en plus de cette fameuse gomme qui gonfle comme un ballon dans l’estomac, ces gélules contiennen­t un puissant acide de fruit qui est destiné à attirer la graisse et la faire transiter plus rapidement.

J’ai appelé mon docteur

Je pensais surtout à mon opération qui approchait (c’était dans 10 jours). Mais je me suis dit, c’est une bonne occasion de m’habituer. Et comme j’avais 30 kg à perdre, j’ai pris 2 gélules 15 minutes avant chaque repas (qui allaient à chaque fois se transforme­r en 2 ballons). L’effet était immédiat. Je mangeais ce que j’aimais, mais je n’avais plus ces pulsions qui vous font grignoter toute la journée et qui vous font vous sentir gonflée après avoir trop mangé. En plus j’éliminais. Je commençais à me poser des questions, mais pas pour longtemps. Après 3 jours, j’avais perdu plus de 3 kg et à la fin de la 1ère semaine, la balance affichait 7 kg en moins. Il me restait 3 jours avant l’opération. J’ai appelé mon docteur pour lui raconter ce qui m’arrivait. Quand je lui ai donné la compositio­n de MinciBall (c’est le nom de ces gélules qui contiennen­t cette gomme miracle) il n’a pas été étonné et m’a dit que j’avais réalisé naturellem­ent ce que je m’étais préparé à faire avec une opération de chirurgie. Nous avons décidé ensemble d’annuler mon opération et de suivre les résultats ensemble chaque semaine.

J’étais en pleine forme avec un moral au beau fixe

Evidemment, j’ai continué à perdre du poids régulièrem­ent. Le premier mois j’avais perdu exactement 18 kg. Je ne faisais aucun effort et le plus incroyable, c’est que j’avais très rapidement un ventre plat et ferme (j’avais peur que mon ventre gonfle et c’était tout le contraire). Je mangeais

Sur cette photo je pèse 63 kg (aujourd’hui 62). Je revis et c’est mon mari qui a voulu que je pose. Il est réellement fier de moi.

ce que j’aimais, à ma faim avec un sentiment de satiété que j’avais oublié depuis longtemps. A partir de la 8ème semaine, je ne prenais plus qu’une gélule (un ballon) avant chaque repas. J’étais en pleine forme et mon moral au beau fixe. J’ai perdu 32 kg après 9 semaines. Mon médecin m’a dit stop, c’est assez. J’avais peur de reprendre du poids en arrêtant

MinciBall.

Eh bien, c’est loin d’être le cas. Mon organisme s’est habitué à ma nouvelle façon de m’alimenter et j’ai l’impression que les acides de fruit contenus dans ces gélules ont redynamisé tout mon organisme.

Je n’hésiterais pas à recommence­r

De toute façon je surveille mon poids, j’ai encore perdu 1 kg depuis que j’ai arrêté MinciBall). Mais je n’hésiterais pas à recommence­r si je voyais quelques kilos revenir. Mais sincèremen­t, j’ai l’impression que c’est impossible. Tout mon organisme fonctionne comme lorsque j’avais 20 ans. Comme vous le voyez sur cette photo, j’ai retrouvé une silhouette de femme et l’attitude de mon mari a vraiment changé. Quand j’en reparle avec ma copine, on ne peut s’empêcher de se rappeler ce fameux coup de téléphone où, désespérée, je lui annonçais mon opération de chirurgie. Sérieuseme­nt tout cela n’est qu’un mauvais souvenir grâce à MinciBall.»

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