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8Mrcé BR& UTe&R& NcMXRrc bBK& &XGbBR&n Dans les années 80 et 90, le connard était celui qui, à de rares exception près (on pense à certain regretté Canalplusien), se baladait avec des quantités faramineuses de « C » dans les poches. Facilement identifiable. « La cocaïne, c’est la façon qu’a Dieu de nous montrer qu’on a trop d’argent » disaient ces Anglais restés à la Guinness ou la Ganja... Puis vint, à la fin des années 00, la démocratisation de l’ex-drogue des yuppies : depuis, celle-ci permet aussi au lumpenprolétariat de la restauration ou du BTP de faire ses heures. Et comment faire, du coup, pour repérer le super-connard new age – celui capable de virer son staff via Zoom tout en écoutant le dernier Air d’une discrète oreillette – des années 00 ? Quels seraient donc les signes extérieurs de sa putréfaction morale ?
Tu en as lu sept pages et tu en profites pour faire le tri dans des collaborateurs et te séparer de ceux qui ne « t’emplissent pas de joie » ? T’as tout compris.
1 E
T’as trouvé comment avoir l’air d’un baltringue de bord de mer (on pense à la Promenade des anglais) en plein Paris ?
Bravo !