Adil Rami, cartes sur table
L’ancien Fréjusien s’est confié lors de son passage au CERS à Saint-Raphaël. Le défenseur du FC Séville, détendu, revient sur sa convalescence, son Euro, et son amour de l’Espagne
Le Fréjusien et défenseur central du FC Séville, Adil Rami, est venu soigner sa blessure aux ischiojambiers, contractée mi-septembre, au CERS à Saint-Raphaël. Ici, il a ses personnes de confiance, notamment Didier Raoult, le kiné. Entre soins l’après-midi avec ce dernier et travail physique le matin avec le préparateur Romain Fernandez, l’international se rapproche de la reprise. Récent papa de jumeaux - «les nuits sont courtes», sourit-il -, l’imposant défenseur s’est confié, sous un soleil clinquant, comme son sourire. Son Euro, son avenir en Bleu, son amour pour l’Espagne, son respect pour Emery, sa confiance sans faille au CERS, le Varois se lâche.