À bord
Pas question de renier son héritage. Là aussi le maître étalon reste la 911. Démarreur à gauche, forcément. Bien que portés sur une dalle numérique incurvée de 16,8 pouces, les 5 fidèles cadrans ronds d’instrumentation restent présents, toutefois personnalisables à l’envi. Zéro commande manuelle sur la console centrale (hors warnings) ; tout est concentré sur deux autres écrans, tactiles ceux-là. Le 1er, en partie haute, pour l’infodivertissement et réglages de l’auto, l’autre pour contrôler flux d’air et clim’. La largeur de l’auto (2,144 m), outre le fait de bien l’asseoir sur la route, offre un très bel espace aux épaules et permet de loger d’immenses sièges sports à 18 lois de réglages électriques. On comprendra plus tard l’utilité des épais et surdimensionnés appuis-tête ! Certainement pas pour piquer un somme. Les deux places arrière sont un peu exiguës. Les coffres (366 litres à l’arrière et 81 l à l’avant) s’avèrent finalement plus logeables que celui de la Panamera Turbo S E-Hybrid (405 l).