Extradition compliquée
Les quinze ressortissants italiens arrêtés le 8 mars, soupçonnés d’appartenir à l’organisation mafieuse ’Ndrangheta, s’opposent à leur extradition. Deux autres suspects, naturalisés suisses, refusent également d’être extradés. L’Office fédéral de la justice a fait savoir aux autorités italiennes qu’en tant que citoyens suisses, ils ne peuvent pas être transférés sans leur consentement.