Une médaille pile et face…
Des vases communicants… Est-il besoin d'ajouter que l'un ne peut pas vivre sans l'autre, lorsque l'on sait que les dividendes engrangés par l'un, en déblayant le chemin devant l'autre, se chiffrent à des sommes, tellement vertigineuses, qu'il s'avère difficile d'envisager, combien même l'on serait d'un optimisme béat, qu'ils puissent un jour se court-circuiter, pour quelque raison que cela soit, arrêtant ainsi le flux et le reflux , de cet argent sale, qui court, par-delà les nuages, et qui nourrit des desseins, très peu recommandables, et autrement meurtriers.
Des vases communicants… Est-il besoin d’ajouter que l’un ne peut pas vivre sans l’autre, lorsque l’on sait que les dividendes engrangés par l’un, en déblayant le chemin devant l’autre, se chiffrent à des sommes, tellement vertigineuses, qu’il s’avère difficile d’envisager, combien même l’on serait d’un optimisme béat, qu’ils puissent un jour se court-circuiter, pour quelque raison que cela soit, arrêtant ainsi le flux et le reflux , de cet argent sale, qui court, par-delà les nuages, et qui nourrit des desseins, très peu recommandables, et autrement meurtriers, lesquels conduisent à l’hécatombe, quasi-généralisée, que connaît le monde aujourd’hui, en proie au terrorisme, dont nul ne saurait en réalité, reconnaître le visage. Jusqu’à ce qu’il frappe, toujours de plein fouet, semant la mort dans son sillage, sans plus d’états d’âme, parce que la barbarie est dépourvue d’âme. Elle brasse large, infiltre tous les continents, tous les pays, et toutes les classes, pernicieusement, avec un poison qui n’a toujours pas d’antidote. Sauf un. Mais pour cela il faudrait se doter de moyens conséquents, pour pouvoir trancher dans le vif de la chair, et ne pas se contenter de couper la tête de la vipère: il faut s’arranger pour l’écraser, la réduisant en charpie, à l’état de bouillie. Avant de nettoyer le sol avec le vitriol le plus coriace. Le ministre de l’intérieur tunisien ne croit pas si bien dire: contrebande et terrorisme sont les deux revers d’une même médaille. Voilà pourquoi il ne faut pas fermer les yeux, et encore moins lâcher du lest, face à ce commerce parallèle dont certains préconisent qu’il ne soit pas totalement jugulé, parce qu’il constituerait une sorte de soupape de sécurité, contre le chômage endémique qui sévirait dans les régions. Sauf que l’on sait aujourd’hui, jusqu’où cet état de choses peut nous conduire, les réseaux de contrebande étant impliqués, pour une très grande part, dans l’enrôlement, et l’envoi de jeunes, vers les foyers de tension, pour y rejoindre l’hydre Daech, et ses multiples ramifications. L’argent a toujours été le nerf de la guerre. L’argent sale qui plus est. Il faut leur couper les vivres. C’est la seule façon de leur barrer la route. La seule façon…