Ils Ont Dit:
«Le dirigeant au sein de Nidaa Tounes et ministre de l’education Neji Jalloul, se voit apte et capable de présider le comité politique du parti. Neji Jalloul se voit populaire au sein de Nidaa Tounes et les électeurs du parti. Les deux dirigeants Faouzi Elloumi et Ridha Belhadj, ainsi que Neji Jalloul tentent de se positionner au sein du parti.» Taher Batikh (Député de Nidaa Tounes)
«Des pressions ont été exercées pendant les élections qui ont eu lieu durant le congrès du parti Ennahdha. Cela n’annule pas l’aspect démocratique des élections et des institutions du parti. Le président du parti avait déclaré durant son allocution que le message est parvenu et qu’il va essayer de réformer. Nous attendons les réformes qui ne doivent pas être quelques changements simples dans des petits articles. Les réformes doivent concerner l’amélioration du système de gestion du parti ce qui lui permettra de contenir la diversité du mouvement et être un soutien à la société.» Abdellatif Mekki (Dirigeant au sein du parti Ennahdha et député de L’ARP)
«Je suis très étonné par la déclaration de Mme Abbou à propos des élus de son parti qui, selon elle, ont présenté deux dossiers de corruption au ministre du Transport Anis Ghedira, sauf que ce dernier aurait accordé une promotion à la personne impliquée dans lesdits dossiers. Nous n’avons reçu aucun dossier de corruption de sa part ou de celle du parti Attayar. Ceci dit, le ministre l’appelle, ainsi que tout autre citoyen détenant des dossiers de corruption, à contacter le département. L’élue, Samia Abbou, devrait vérifier ses informations avant de lancer des déclarations qui peuvent nuire à la réputation des cadres et des structures de l’etat.» Ghassen Ouji (Chargé de la communication au ministère du Transport)
«La taxe douanière des 30 dinars imposée par les autorités tunisiennes pour toute personne qui s’apprête à pénétrer le sol tunisien peut affecter la situation sécuritaire et sociale dans l’algérie et la Tunisie, surtout avec la détérioration de la situation en Libye. Les autorités tunisiennes ne répondent pas aux demandes des Algériens appelant à annuler cette taxe. L’ambassadeur algérien a demandé à rencontrer le président de la République Béji Caïd Essebssi, depuis le mois d’août, et jusqu’à aujourd’hui, cette rencontre ne s’est pas concrétisée. L’institution politique tunisienne ne traite plus avec l’algérie, certains dossiers sérieusement, et l’ambassadeur algérien a annoncé la décision d’application de la réciprocité pour la taxe douanière. Cette taxe a causé une vague de protestations du côté algérien surtout chez les habitants des régions frontalières, qui sont en contact quotidien avec les Tunisiens.» Otheman Lahyeni (Journaliste algérien) Ces déclarations ont été accordées à différents médias