Droit de réponse
L’article «Béni Saf : Une affaire liée au domaine forestier connaîtra-t-elle son épilogue ?», publié dans votre édition du 17 mai 2021 et signé M. Kali, m’a grandement surpris, au vu des inexactitudes et des informations fausses qu’il contient. Votre correspondant m’accuse ni plus ni moins d’avoir accaparé une forêt au lieudit Béni Ghenam, sans m’avoir entretenu sur le sujet, comme l’exige votre noble profession. Comme si nous vivions dans une forêt, pour reprendre son terme. Je suis victime de harcèlement de votre correspondant, dans le sens où il avait déjà publié auparavant deux articles sur le même sujet. Suite à ces articles, les autorités compétentes ont ouvert des enquêtes qui ont abouti au fait que mon projet ne souffre d’aucune anomalie, un projet réalisé sur la base de documents officiels et réglementaires (ci-joint les documents étayant mes dires). Et de m’interroger sur les desseins de ce correspondant de Aïn Témouchent en publiant trois articles similaires concernant une infrastructure en fonction légalement et en m’accusant gravement, moi et la famille des héritiers de feu Benamar Madani, dans une affaire dont la justice avait déjà tranché en ma faveur. Il aurait dû enclencher une enquête professionnelle en se rapprochant des héritiers ou de moi pour faire un travail objectif. Cela n’a pas été le cas d’où ma surprise et mes questionnements sur les motivations de ce correspondant. Nous mettons à votre disposition tous les documents officiels qui démentent les écrits mensongers de votre correspondant dont les actes de vente des parcelles du terrain notarié, les livrets fonciers, les PV de constatation des experts fonciers, d’autres PV des services des Domaines Publics, Biens de l’Etat, des PV de huissiers de justice et toutes les autorisations de travaux et autres délivrées par l’administration algérienne de la wilaya de Aïn Témouchent, ainsi que des arrêts de justice en ma faveur, six en tout. Tout cela a été ignoré par votre correspondant qui n’a jamais daigné se rapprocher de moi pour avoir ma version des faits, vérifier les documents en ma possession avant d’écrire ses articles diffamatoires qui m’ont porté un grand préjudice moral. Je me réserve le droit de poursuivre votre correspondant devant les juridictions compétentes. Mes salutations.