Des sportifs protestent et font appel au maire
Ljudo de la ville, ajoute-t-il. Mais, malheureusement, nous avons fini pas nous retrouver dehors pour des motifs fallacieux, et ce à quelques semaines du début des compétitions locales et nationales.» Selon les adhérents de l’association, les résultats arrachés durant les dernières années (médaille au championnat national dans la catégorique junior, médaille en catégorie cadet au championnat africain, et autres) n’ont pas vraisemblablement pas pesé lourd dans le processus prise de décision qui a abouti à la fermeture d’une salle pouvant à peine contenir 50 judokas, toutes catégories confondues. S’adressant au premier magistrat de la ville, les membres de l’association l’appellent à reconsidérer cette décision qui risque de mettre un terme, précocement, à la carrière de dizaines de jeunes sportifs. a fermeture d’une salle de judo, sise au quartier Larbi Ben M’hidi (Gambetta), qu’occupait l’association El Fajr, suscite l’indignation de dizaines de sportifs qui évoquent une flagrante «injustice». La salle en question, un bien appartenant à la commune, a été fermée et scellée fin mai, «dépossédant quelque 300 sportifs d’un édifice mis à leur disposition depuis 2014», explique l’association El Fajr dans un communiqué. Selon M. Belkadi Habib, président de l’association, cette décision est intervenue alors que trois autres clubs de judo bénéficient de toute l’«attention» des élus, d’aides financières conséquentes de la part de l’APC et d’espaces pour les entraînements plus spacieux et mieux équipés comparativement à son club. «Nous avons tenté, patiemment, de ne pas verser dans le jeu malsain visant à mettre en conflit les adhérents des différents clubs de