POUR ALLER PLUS LOIN
Le couple de ce troisième dialogue emploie un langage très soutenu. Les constructions de phrases sont plus rigoureuses et complexes. Non seulement les négations sont complètes, mais certains ordres sont atténués par le conditionnel (« tu pourrais »), parfois à la forme interrogative (« voudrais-tu »). La présence du subjonctif « soyons » dénote un langage choisi, tout comme le vocabulaire qui fait appel à des mots rares (« se hâter », « passer un pantalon », « entremets », « se tranquilliser ») ou à une figure de style recherchée (« le soleil de mes nuits »).