ÉDITORIAL
Facebook, Instagram, Linkedin, Tiktok… Nous sommes envahis par les réseaux sociaux, que la grande majorité d’entre nous envahit aussi en y exposant son bonheur personnel, familial, professionnel, ses points de vue et ses analyses sur tout. À croire qu’il s’agit là de la seule voie, aujourd’hui, pour se faire connaître et faire reconnaître ses talents et autres compétences à grande échelle. Alors on poste, on tagge, on like. Le plus possible. Il faut « en être ». À tout prix. Jusqu’à en oublier d’« être ». Il existe cependant un talent devenu célèbre, une référence dans son domaine et pourtant totalement absent des réseaux sociaux : le créateur de mode Martin Margiela. Aucune photo de lui. Ni sur la Toile, ni dans la presse, ni dans les agences. Pas de nom sur ses créations, juste des étiquettes blanches. Pas de salutations publiques à la fin de ses défilés… Pour lui, seule compte son oeuvre. Portrait (page 56) d’une star discrète qui a choisi d’« être » plutôt que d’« en être ».
„Das Vermächtnis oder Von Lilien lernen“ist ein vielschichtiger Roman über die Wunden der Nachkriegszeit, über den Beginn des Massentourismus und der Eventkultur und die deutschfranzösischen Beziehungen. Im Mittelpunkt des Geschehens: Alman, deutscher Aussteiger in Chartres.
Der Autor erzählt mit souveräner Sprachkraft und feinem, untergründigem Witz die Geschichte eines Fremden und Außenseiters, und der Beziehungen zu Francoise, seiner Geliebten und ihrer Probleme. Eingebettet in die Beschreibung französischer Lebensart, des Geschehens in und um Chartres und eines, wenn auch nur virtuellen Ausflugs in die nahe gelegene französische Metropole.
Auf subtile Weise verflicht er Gegenwart und Vergangenheit. Sie treffen sich schließlich auf überraschende Weise im Symbol der Lilie.