POUR ALLER PLUS LOIN
Le langage des deux amis est informel, avec des expressions familières (« ouais », « bouchons », « à la bourre », « bahut », « ras-lebol », « engueuler »), voire vulgaires (« bordel »), des abréviations populaires (« dirlo », « trott’ ») et des contractions (« j’vais », « j’crois », « y’a pas »). La syntaxe n’est pas du tout respectée dans la dernière phrase.