POUR ALLER PLUS LOIN
Les deux amis multiplient les mots familiers (« ouais », « bouffe », « cafèt’ »…), voire vulgaire, comme « dégueu » (pour « dégueulasse »), ainsi que les ellipses (« T’as », « j’rigole »...). La présence du verlan (qui inverse les syllabes d’un mot) marque aussi le côté familier (« chelou » pour « louche »).