POUR ALLER PLUS LOIN
Le lexique utilisé est familier (« j’en ai ma claque »,« ça fait un bail », « kiffer », « tchatcher » , « djeuns », ou encore
« stop » et « le bad » – tirés de l’anglais), et le langage est informel, avec des répétitions typiques du langage parlé (« et il a », « son programme, il me paraît ») et des lettres ou mots manquants (« j’y crois plus », « t’abuses », « faut m’croire ! »).