GADGETS COOLS POUR CONCEPT STORES
PAVÉ THE WAY
PLASTIC STRAWS SUCK
Le designer et philanthrope Joan Hornig a créé le parfait mélange de consumérisme et d’activisme, en rendant les donations accessibles en millions avec de la joaillerie abordable et consciente, via sa nouvelle marque Pavé The Way. Par exemple, son bracelet ‘Plastic Straws Suck’ est constitué d’une ficelle en coton ciré noire ajustable et d’un pendant en argent massif représentant l’une des plus de 100 milliards de pailles en plastique utilisées aux États-Unis chaque année. Ces pailles prendront des centaines d’années pour disparaître, elles représentent l’impact négatif des humains sur l’environnement. En portant un bracelet, vendu à 95 USD, le consommateur rappelle la nécessité de préserver les océans. De plus, intégré au modèle économique, 100 % des bénéfices sont donnés à un organisme choisi par le client, lui permettant d’avoir un impact sur quelque chose d’important. pavethewayjewelry.com
FLOW
QUELQUE CHOSE DANS L’AIR
L’air est-il propre autour de nous ? Que vous soyez au travail, à l’extérieur ou dans votre appartement, Flow vous donne rapidement la réponse. Ce capteur connecté inventé par l’entreprise française Plume Labs mesure la quantité de polluants auxquels vous êtes exposé. L’appli associée se base sur les coordonnées GPS de votre smartphone pour vous informer en temps réel où se trouvent les pics de pollution les plus élevés, afin d’éviter ces zones. Flow utilise ces données et les réunit dans une carte de la qualité de l’air encore plus précise. Cet appareil élégant a été créé en collaboration avec le fameux studio de design Frog et a déjà remporté plusieurs prix. Flow 2, avec une finition en graphite noir, a été lancé en novembre et dispose d’une batterie améliorée. Le capteur se vend à environ 160 EUR (160 USD en-dehors de l’EU). plumelabs.com/en/flow
ANASTASIA PILEPCHUK
MASQUES DE RÊVE
Pour les personnes allant à un bal masqué, ou cherchant simplement un accessoire original, les masques fantaisistes de Anastasia Pilepchuk pourraient être la réponse. La créatrice et peintre russe a présenté sa première collection de vêtements et masques en 2018, à travers ce qu’elle vise : "reconsidérer les matières et les formes, trouver de nouvelles manières de les inscrire dans la réalité à travers l’imagination". Chacun de ses masques, qui se vend entre 100 et 350 EUR, est totalement différent, construit aussi bien en métal, bois, plastique, papier, textile, avec des fils individuels, ou dans n’importe quel matériau de tous les jours qui se trouve devant elle. Dans des sculptures merveilleuses, ils sont montés en filets linéaires, ou en création avec des touches iridescentes ou des franges colorées, pour n’en citer que quelques-uns. Les projets futurs d’Anastasia sont de lancer une ligne de bijoux pour le visage et de travailler avec des métaux précieux. pilepchuk.com