30 VIES C’EST REPARTI!
La prof de biologie de l’école du Vieux-Havre, Maxim Bouchard (interprétée par Karine Vanasse), a commencé à donner ses cours!
30 vies est en ondes à RadioCanada depuis lundi dernier, et c’est au visionnement de presse que nous avons rencontré Fabienne Larouche et quelques-uns des acteurs de la série, qui avaient tous des nouvelles pour nous!
« 30 vies, c’est un laboratoire, nous dit l’auteure et productrice d’émissions à succès
FABIENNE LAROUCHE. Nous sommes en expérimentation et, chaque saison, nous avons l’impression d’améliorer quelque chose. Cette fois-ci, nous explorons les sciences.» Y a-t-il une vie... après 30 vies? «Je termine l’écriture des saisons de 30 vies et de Trauma, qui sont présentement en cours, puis je me mettrai à l’écriture de Trauma 5 et de la prochaine saison de 30 vies. Je poursuis aussi mon rôle de productrice d’Unité 9, qui s’est avérée une belle surprise. Quand les astres se placent...» Que souhaite Fabienne pour 2013? «Que ça se poursuive, dit-elle. Quand les choses vont bien, on ne veut pas qu’elles s’arrêtent. J’ai un bon mari, nous travaillons ensemble, tout va bien. Ma santé est bonne aussi. Alors je n’ai pas d’autre souhait que de voir les choses continuer ainsi.» C’est KARINE VANASSE qui incarne la prof Maxim Bouchard. On s’en souvient, l’actrice devait faire partie de 30 vies tout de suite après Marina Orsini, mais elle venait de décrocher un rôle dans la série américaine Pan Am. «Je voulais honorer ma promesse, dit-elle en évoquant sa collaboration avec Fabienne. À l’époque, elle a compris que Pan Am, c’était une expérience que je ne pouvais pas manquer. Là, je suis revenue ici par choix, pour faire
30 vies. C’était ma manière de dire à Fabienne que ce qu’elle envoie dans les foyers des Québécois du lundi au jeudi, je trouve ça vraiment bien.» Entre autres projets, Karine devrait par la suite faire des auditions aux États-Unis. Véritable beauté naturelle, elle a aussi accepté d’être le visage de Marcelle, une marque québécoise qui célèbre ses 80 ans. «Il y a une parenté de valeurs, dit-elle. Avec Marcelle, c’était tout naturel. Je représente les gammes de produits de soins de la peau et de maquillage. Ils sont hypo-allergéniques, conçus pour les peaux sensibles et sont abordables. Marcelle a toujours été fidèle à ses valeurs de départ, et ça me plaît. Pour moi, ces produits ont toujours été associés à la qualité, au fait de prendre soin de soi et au maquillage subtil. Je pense qu’avec Marcelle, les gens achètent non pas du rêve, mais quelque chose de possible et qui est près d’eux.» L’interprète de Raphaël Chénier-Leduc,
BENOÎT McGINNIS, connaîtra un printemps chargé au théâtre. «J’ai une première de théâtre le 15 janvier au TNM dans Le roi se
meurt. Un très bon texte, dit-il. J’enchaînerai en mars avec une autre pièce, Avec Norm, qui sera présentée au Théâtre du Rideau Vert et dans laquelle j’incarnerai un homme atteint de déficience intellectuelle. Puis, en mai, je retournerai sur les planches du TNM, dans Le chant
de sainte Carmen de la Main, le gros show musical de René Richard Cyr. Je pensais n’avoir que du théâtre au programme, mais l’automne dernier, j’ai reçu en cadeau un rôle dans
30 vies. Je me suis retrouvé avec un horaire complètement débile, mais c’est dans ces moments-là que je suis le plus heureux!» Dans 30 vies, YVAN BENOÎT incarne Stéphane Cormier. Mais, le reste du temps, c’est à ses deux fils, Gabriel, 14 ans, et Lukas, 12 ans, qu’il se consacre. «L’un joue au hockey, l’autre est plus “techno”, dit-il. Dès le retour de l’école, c’est la période des devoirs. Puis, nous limitons le temps de télé et de jeux. Nous avons acheté un chien et nous faisons des marches. En marchant, nous évacuons le stress de notre journée. C’est difficile, l’école. Le secondaire est une étape exigeante à certains égards. J’ai deux bons garçons, et l’adolescence se déroule bien jusqu’à maintenant. Le sport élimine beaucoup de tensions. Je suis très présent pour mes fils. Je ne voudrais pas qu’à l’âge adulte, ils me demandent ce que j’ai été dans leur vie... Lorsqu’ils étaient au primaire, ils venaient manger à la maison tous les midis. Je leur ai donné ce que moi j’avais reçu. Parfois, c’était difficile, parfois il fallait faire des choix, mais je pense qu’en six ans de primaire ils ont dîné à l’école seulement deux fois! Nous étions là, leur mère et moi. Nous souhaitons plus que tout que nos enfants soient bien. Et pour y arriver, il faut que les parents soient présents.» Yvan est aussi de la distribution de la pièce Un village de fous, présentée chez Duceppe jusqu’à la mi-février. Pour JULIEN ADAM, le début du mois de janvier correspondait à une période d’examens qu’il n’avait pas passés avant les fêtes, puisqu’il était en tournage. Celui qui incarne Xavier Nadeau-Landry ne s’en plaint pas et met les bouchées doubles. «Je suis en cinquième secondaire, dit-il. Ensuite, je compte faire une formation générale au cégep, pour pouvoir repousser le moment de mon choix de carrière et me spécialiser plus tard encore mieux dans ce que je veux faire. Je veux devenir acteur, c’est mon rêve, mais je me prépare aussi un plan B, comme mes parents m’ont encouragé à le faire. De toute manière, je poursuivrai mes études. Et, si ce n’est pas le jeu, ce sera pour moi la vente ou l’administration.»