ANICK DUMONTET
Valérie roberts
Elle recueille les confidences de Valérie Roberts en
Notre collaboratrice Anick Dumontet a toujours aimé entendre la pétillante animatrice à la radio: elle était donc ravie quand Valérie a accepté son invitation! C’est dans un lieu qu’elle affectionne particulièrement que Valérie lui a donné rendez-vous!
Valérie, tu coanimes quotidiennement à la radio un show du retour avec deux gars qui ont environ 20 ans de plus que toi. Comment ça se passe?
Nous sommes un trio, Patrick Marsolais, Peter MacLeod et moi. Je pense qu’on a des visions très différentes en raison de nos générations différentes. Mais j’ai toujours été one of the boys, donc travailler avec des hommes ne me gêne pas du tout. Je suis quelqu’un qui a des opinions assez arrêtées, mais je suis quand même ouverte. Si tu me donnes un argument qui pour moi est logique, j’embarque et je te crois. Ensemble, nous avons une belle dynamique. C’est notre deuxième saison, et on s’aime encore plus...
Même si tu es la plus jeune du trio, c’est souvent toi qui tempères le groupe, qui équilibres les discussions...
(Rires) Je sais... c’est un des mandats qu’on m’avait donnés au début. Les gars ont chacun leur personnalité, j’essaie donc d’apporter de l’équilibre, du contenu et de m’amuser en même temps. Finalement, nous sommes
J’ai rencontré la jeune femme à Montréal, à son institut de beauté chouchou du boulevard Saint-Laurent. Le coin est un peu éclectique, très urbain et il s’en dégage un vent de renouveau... à l’image de l’animatrice! Parce qu’elle est pétillante, brillante et colorée, j’ai toujours aimé l’entendre à la radio. Et avec le temps, en la découvrant de plus en plus, j’aime sa pertinence, sa justesse et la facilité avec laquelle elle s’adapte à toute discussion, en ayant toujours le bon propos!
très différents, mais on se complète bien.
À la radio, quels sujets te font le plus vibrer?
J’aime aborder les sujets où il est difficile de se prononcer. Les sujets où il n’y a pas de bonnes réponses. Je te donne un exemple. Hier à l’émission, on posait la question «Quand doit-on dire je t’aime?». C’est fou! La question est simple mais profonde, quand on s’y attarde! Certains ne le diront presque jamais dans leur vie, alors que d’autres pourront le dire rapidement... Moi je suis quelqu’un qui, si je l’ai senti le lendemain de la première sortie, le dira peut-être. Je ne suis pas du genre à refouler mes sentiments et mes émotions.
Ton amoureux, Martin Juneau, et toi, vous l’êtes-vous dit rapidement? Rappelle-moi la chronologie de votre histoire...
Nous nous sommes rencontrés en 2015, puis mariés à Las Vegas en janvier 2016. Nous nous sommes ensuite remariés au Québec en octobre 2017 pour officialiser le tout avec nos amis et nos familles.
Vous formez un couple aimé du public. Quels sont vos prochains projets?
Premièrement, je suis très fière de notre couple et de la manière dont il évolue. Nous communiquons mieux. Ça nous permet de régler rapidement les petits conflits. Je souhaite continuer à bien vieillir en couple. Nous sommes dans un gros projet de rénovation de maison qui se terminera bientôt. Nous avons fait appel à un architecte, et elle sera prête en janvier. C’est notre maison de rêve; elle sera unique, avec une cour intérieure. Elle nous donnera beaucoup de luminosité et d’intimité. Elle aura une configuration qui s’adapte à nos besoins, à mon chum, à ses filles et à moi. J’ai tellement hâte, c’est un vrai chef-d’oeuvre!
Tu apprécies beaucoup l’art et tu aimes les belles choses... Pour toi, que représente la beauté?
Je pense que ç’a été difficile pour moi pendant longtemps. Je pensais que la beauté était très superficielle. Que si une personne aimait la beauté, elle était obligatoirement superficielle. Et, en vieillissant, je m’assume de plus en plus et je réalise que la beauté, c’est très important pour moi. Et je ne parle pas dans le style «toi tu es beau et toi tu es laid».
«Je suis très fière de notre couple et de la manière dont il évolue. Nous communiquons mieux; ça nous permet de régler rapidement les petits conflits.»