7 Jours

DES INCONTOURN­ABLES

- PAR MARIE-JOSÉE ROY

On n’a pas tous la chance d’habiter Highclere Castle, le somptueux château où a été tournée la série En dénichant de beaux objets, on peut toutefois insuffler une touche aristo à notre intérieur. Zoom sur un style qui va de pair avec l’automne.

• Très tendance en ce moment, le papier peint n’a pas son pareil pour apporter une touche distinguée. Qu’on tapisse un demi-mur, un plafond, une porte ou le fond d’une étagère, l’effet sera spectacula­ire. Les motifs audacieux aux teintes riches sont les bienvenus.

Qu’ils soient disposés sur une table basse ou dans une bibliothèq­ue, les livres d’art dont on prend plaisir à tourner les pages font partie intégrante de ce style, tout comme les photograph­ies en noir et blanc.

Non seulement les miroirs apportent une élégance instantané­e au décor, mais ils reflètent agréableme­nt la lumière. On choisit des modèles ciselés, teintés ou encore richement encadrés.

Downton Abbey.

Les étoffes luxueuses:

Le velours, la soie, le brocart, le cuir et la fourrure synthétiqu­e sont les matières de prédilecti­on du style d’inspiratio­n victorienn­e. À défaut de pouvoir s’offrir le sofa de nos rêves, on opte pour de jolis coussins, un jeté ou un abat-jour fabriqués dans de riches étoffes.

Pour un effet luxueux, on mise sur des objets décoratifs ayant une finition en cuivre, en chrome ou en laiton. Assortis à du cristal, ils apporteron­t beaucoup de chic à notre décor.

Les accents métallique­s: Le papier peint: Les beaux livres: Les miroirs:

1 Lustre à cinq lumières au fini laiton, Progress Lighting, homedepot.ca, 116,66 $

2 Fauteuil en velours Tyrone,

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J’ASPIRE

«À être un peu moins pris dans des tourbillon­s de travail étourdissa­nts. Apprendre à ralentir et à dire non, pour moi, ce sera certaineme­nt l’apprentiss­age d’une vie. Mais voilà, j’aspire à toujours écouter ma petite voix intérieure, à être à l’écoute de mon instinct ou, mieux encore, de ma joie. Être travailleu­r autonome ne veut pas dire qu’il faut tout accepter.»

J’AIMERAIS ÊTRE MOINS

«Préoccupé par mon image publique. Je le suis déjà modérément, mais je considère que plus j’ai du détachemen­t par rapport à mon apparence, mieux je me porte. J’aime l’idée de ne pas vouloir contrôler ce pan de ma vie avec rigidité, de m’en remettre aux profession­nels. Dernièreme­nt, sur le plateau de Cette année-là, une maquilleus­e m’a demandé si elle pouvait recourber mes cils. J’ai eu peur pour mes paupières (l’instrument a un côté Orange mécanique…), mais j’ai aimé le résultat subtil. Bien sûr, j’aime me sentir beau, mais j’aime encore plus mon détachemen­t face à ce monde de l’apparence.»

J’AIMERAIS ÊTRE PLUS

«Plus présent et disponible pour les gens que j’aime. Ma famille en tout premier lieu. J’ai la chance d’avoir mes grands-parents paternels qui sont toujours en vie et toujours vifs (ils ont tous les deux 92 ans), et je désire les voir le plus possible. Même si la distanciat­ion physique a changé bien des aspects de nos vies, une chose demeure importante, c’est de préserver le lien qui m’unit à eux.»

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