ÇA FINIT BIEN LA SEMAINE
Simon Boulerice
Simon, un week-end idéal, pour toi, c’est quoi?
C’est une fin de semaine où je n’ai pas trop de travail et où je n’ai pas à régler mon réveille-matin. Cela dit, je travaille souvent les week-ends, alors ce ne sont plus les moments d’extases de ma jeunesse...
Il faut dire qu’à part de regarder tomber les feuilles, je ne suis pas très contemplatif...
Enfant, tu rêvais de devenir quoi? Je voulais vraiment chanter, mais j’ai vite compris que je n’avais pas la voix pour gagner ma vie ainsi!
Que fais-tu pour décompresser après une grosse semaine?
Je lis des livres, je regarde des séries et je joue à Dr. Mario avec mon chum. Je suis complètement accro à ce jeu!
Quelle a été la plus belle année de ta vie?
Je pense que c’est en 1999, quand je suis arrivé au cégep, à 17 ans. J’étais enfin entouré de gens qui avaient la même passion que moi. Pour la première fois de ma vie, je ressentais enfin un sentiment d’appartenance.
Cours-tu toujours après ton temps?
Oui, j’ai toujours l’impression de courir. On dirait que ça fait partie de moi! Heureusement, je réagis bien à cette pression-là.
Quand l’inspiration te vient-elle? Ça me vient aisément dès que je m’installe devant mon ordinateur. Je la convoque, et elle arrive!
Parle-nous d’un anniversaire marquant pour toi.
Les 5, 6 et 8 septembre, ce sont les anniversaires de ma grand-mère, de mon chum et de ma mère. Le début de septembre marque donc les fêtes d’un trio important pour moi.