Marianne St-Gelais
Chaque semaine, l’un des invités de Ça finit bien la semaine prend le temps de répondre à nos questions!
1 Vendredi, c’est synonyme de quoi pour toi?
Ces temps-ci, c’est surtout un moment pour décompresser et tenter d’oublier ce que nous vivons actuellement. Je prends donc un petit verre de vin avec mon conjoint et mon chien, mes deux camarades de confinement!
2 Y a-t-il une activité hivernale que tu apprécies particulièrement?
Je ne dirai pas le patin, parce que je déteste patiner avec d’autres gens. J’aime marcher dehors avec mon chien. La neige ajoute quelque chose de féérique au décor!
3 Y a-t-il une fois dans ta vie où tu aurais aimé arrêter le temps? Quand ma filleule est née. Je patinais encore à temps plein, alors j’ai vécu ce moment à distance. Quand j’ai pris Livia dans mes bras pour la première fois, elle avait déjà trois mois. J’aurais donc aimé pouvoir arrêter le temps et être présente pour les premiers moments de sa vie.
4 Dans la semaine, tu ne prends jamais assez de temps pour…
... lire. Dernièrement, j’ai tenté de lire plus, et j’adore ça! Il y a tellement de beaux livres à découvrir...
5 Le fait de vieillir te préoccupe-t-il? Oui, parce qu’on ne sait jamais ce qui nous attend avec l’âge. J’ai aussi peur de perdre les gens que j’aime autour de moi. Je réalise que le temps est précieux...
6 Que fais-tu pour occuper tes moments libres?
Je fais beaucoup de coaching avec de jeunes athlètes — en respectant les règles sanitaires, bien sûr. Ça fait du bien au moral de sortir de la maison et de voir ces jeunes.
7 Parle-nous d’un anniversaire marquant pour toi…
Nous avons célébré l’anniversaire de mon amoureux juste avant la covid. Ç’a été notre dernier grand rassemblement. C’était un beau moment. Ça me brise le coeur de ne pas pouvoir profiter des belles occasions de célébrer. J’espère bien qu’on pourra reprendre tout ça prochainement.
8 Où te vois-tu dans cinq ans?
Je ne sais pas... J’ai décidé d’arrêter de me projeter dans le temps et de me donner des ultimatums. J’ai dû vivre avec cette pression quand je pratiquais mon sport, alors je tente maintenant de lutter contre ça. Donc, dans cinq ans, je veux être en vie et heureuse, et on verra pour le reste!