Stéphane Rousseau

«Il y a de grands moments de frissons»

Stéphane, que retiens-tu de cette deuxième saison de Chanteurs masqués?

Je m’éclate vraiment et, cette année encore, je ne me prends pas trop au sérieux. Mais je tente tout de même de trouver l’identité des gens qui se cachent derrière les personnages et, des fois, ça passe aussi par l’absurdité. J’aime détendre l’équipe et faire rire le public.

Ta moyenne en tant que juge-enquêteur est-elle meilleure ou moins bonne qu’elle ne l’était l’an dernier?

Je ne suis pas si mal... Je pense que ma moyenne est peut-être même meilleure que celle de l’an dernier, mais ce n’est pas encore terminé. Ça va bien pour moi, mais je dois avouer que ces derniers jours, ç’a été plus compliqué. Des fois, je lance des guess sans être totalement convaincu, et je vise dans le mille. D’autres fois, je suis certain de mon affaire et je me trompe royalement. Mais j’ai eu des moments où j’ai été le seul à trouver et j’étais bien fier de moi.

Quel est ton personnage marquant dans cette deuxième saison?

Il y en a plusieurs, mais j’ai un petit faible pour la Super Loutre. Je trouve le costume magnifique, et la personne qui est dans ce costume bouge bien et le fait bien vivre. À chaque numéro, elle en donne encore plus. C’est quelqu’un qui est assurément dans une forme impressionnante et j’ai quelques pistes, mais, pour le moment, j’hésite vraiment entre deux personnes.

Quel est ton moment marquant de l’année?

Il y a eu de grands moments de frissons, cette année, et il y a de grandes voix, mais je suis toujours surpris par La Reine, qui nous apporte toujours de grands moments. Chaque fois, elle nous amène dans des sphères différentes. Il y a des personnages qui sont plus enfantins et qui sont moins aptes à nous amener dans l’émotion, mais là encore, il y a des surprises. Le Robot m’a beaucoup ému, cette saison.