Des pirates ciblent les banques canadiennes
Un expert en cybersécurité a déclaré aux députés fédéraux que des pirates informatiques étrangers avaient ciblé des banques, des sociétés minières et des institutions gouvernementales canadiennes au cours des dernières années. Leur but était de voler des secrets précieux et propager des logiciels malveillants. Christopher Porter, stratège en chef des services de renseignement de la société de sécurité FireEye, a affirmé qu’en février 2017, plusieurs grandes institutions financières canadiennes étaient à risque d’être exposées à des attaques cybernétiques financées par la Corée du Nord. Ce stratagème visait à rediriger les utilisateurs vers des téléchargements malveillants susceptibles de prendre le contrôle de leur ordinateur.
Il a ajouté qu’un certain nombre d’organismes financiers canadiens étaient en évidence sur la liste des cibles.
M. Porter a témoigné mercredi devant le Comité de la sécurité publique et de la sécurité nationale de la Chambre des communes.
D’après lui, au moins six groupes du crime organisé oeuvrent dans la criminalité financière et ciblent des entreprises et des citoyens canadiens. Leur niveau de sophistication égalerait celui que l’on ne retrouvait auparavant que parmi les attaques menées par des États.
Selon Christopher Porter, FireEye découvre régulièrement d’importants sites web vendant des milliers de cartes de crédit canadiennes volées à la fois, parfois auprès de grandes banques, mais ciblant également les comptes de clients de petites banques et de coopératives de crédit. – La Presse canadienne Brands, affirmant que cette proposition sous-estimait le producteur de cannabis.
Dans une déclaration, Aphria a indiqué que son conseil d’administration avait unanimement recommandé le rejet de l’offre non sollicitée après qu’un comité l’eut examinée.
À la fin du mois dernier, Aphria avait affirmé qu’un comité indépendant composé d’administrateurs examinerait l’offre et demandé à ses actionnaires d’attendre que le conseil fasse une recommandation formelle.
Green Growth Brands avait évoqué, vers la fin de l’an dernier, une éventuelle offre proposant 1,5714 actions de GGB pour chaque action d’Aphria. À l’époque, le conseil d’Aphria avait estimé que la proposition non sollicitée «sousévaluait considérablement» la société. Aphria a déclaré que l’acquisition aurait des répercussions négatives, notamment le retrait de la cote de la Bourse de Toronto et de la Bourse de New York.
«Le conseil d’administration d’Aphria estime à l’unanimité que l’offre hostile de GGB est considérablement sousévaluée et inadéquate, et ne sert pas l’intérêt des actionnaires d’Aphria pour de multiples raisons», a déclaré le président d’Aphria, Irwin Simon, dans la déclaration de l’entreprise. «Indépendamment de leurs tentatives téméraires de suggérer le contraire, GGB demande aux actionnaires d’Aphria d’accepter un rabais important sur leurs actions, ainsi que leur radiation de la cotation à la Bourse de Toronto et à la Bourse de New York, ce qui entraînerait une dilution considérable de leur participation dans Aphria.» – La Presse canadienne Le géant américain de l’automobile General Motors a engrangé un profit de 8,1 milliards $ US en 2018, après avoir obtenu un meilleur prix pour ses véhicules aux États-Unis, son marché le plus lucratif.
GM avait encaissé une perte de
3,9 milliards $ US l’année précédente, en raison d’une énorme charge comptable. Le profit avant taxes de GM s’est chiffré à 10,8 milliards $ US en Amérique du Nord, ce qui signifie que chacun des quelque 46 500 travailleurs syndiqués aux États-Unis recevra un chèque de 10 750$ US, contre 11 500$ US l’an dernier.
Le bénéfice net de GM s’est établi à 5,58$ US par action en 2018. Son bénéfice ajusté a été de 6,54$ US par action, surpassant le montant de 6,29$ US par action attendu par Wall Street. Son bénéfice net s’est élevé à 1,40$ US par action au quatrième trimestre. Son bénéfice ajusté s’est chiffré à 1,43$ US, tandis que Wall Street prédisait 1,24$ US. – AP