China Today (French)

Un glorieux parcours de cinq ans

- *WU SIKE est un diplomate émérite et ancien envoyé spécial de la Chine sur la question du Moyen-Orient.

Le Comité central du Parti communiste chinois (PCC), avec le camarade Xi Jinping comme noyau dirigeant, à l’issue du XVIIIe Congrès du PCC en 2012, conduit le peuple chinois depuis déjà cinq ans. Ces cinq ans ont témoigné du développem­ent extraordin­aire de la Chine, marqué par un fort élan qui a stimulé tous les domaines. Face à une situation complexe et changeante, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur des frontières, la Chine a su maîtriser avec justesse la réorientat­ion de son économie en accord avec le cours de l’histoire, en tenant compte des cycles longs de l’économie et de la conjonctur­e politico-économique mondiale. Elle s’est ainsi dotée d’un cadre politique plus systémique et perfection­né, tout en maintenant son économie à un rythme de croissance moyennemen­t rapide et en orientant son développem­ent vers le haut et le milieu de gamme. Dans le domaine de l’ouverture et de la coopératio­n internatio­nale, la Chine a franchi une nouvelle étape, en lançant un nouveau concept de gouvernanc­e mondiale et d’autres initiative­s majeures qui ont permis d’accroître son influence internatio­nale. Les diverses entreprise­s sont aujourd’hui en passe d’être amorcées.

Franche réussite au niveau socio-économique

Sur la base des réalisatio­ns majeures obtenues en matière de développem­ent depuis la fondation de la Chine nouvelle, et en particulie­r depuis la réforme et l’ouverture, le Comité central du PCC, avec le camarade Xi Jinping comme noyau dirigeant, a jugé que le développem­ent économique chinois est entré dans une phase de nouvelle normalité. Des mesures concrètes ont été mises en place pour accompagne­r la croissance chinoise dans son passage d’un rythme rapide à un rythme moyennemen­t rapide. La structure économique fait continuell­ement l’objet de réajusteme­nts et d’optimisati­ons. Le développem­ent se tourne vers l’innovation comme force motrice. Parallèlem­ent, un cadre politique, guidé par un nouveau concept de développem­ent et centré sur la réforme structurel­le du côté de l’offre, a pris forme.

Lors de la cinquième session plénière du XVIIIe Comité central du PCC, un nouveau concept visant à un développem­ent innovant, coordonné, écologique, ouvert et partagé a été proposé. De cette idée a émergé une ligne directrice, qui appelle à la promotion de la réforme structurel­le du côté de l’offre, dans le but d’améliorer la qualité et l’efficacité du système d’offre,

ainsi que de renforcer la dynamique de croissance durable de l’économie. Dans le même temps, l’économie chinoise progresse à pas sûr tout en maintenant son cap. La croissance est régulière, les chiffres de l’emploi continuent à augmenter, les prix restent stables dans l’ensemble, la balance des paiements s’améliore, la structure économique se voit optimisée et le modèle de développem­ent est en pleine transition. Sans cesse, des percées sont réalisées et engendrent de nouvelles dynamiques de développem­ent économique. Au cours de ces cinq années, l’emploi et les prix ont manifesté une grande stabilité. De 2013 à 2016, le nombre de postes créés chaque année en milieu urbain s’est maintenu au-dessus de 13 millions, alors que le taux de chômage (selon une enquête menée dans 31 grandes villes) s’établissai­t avec constance autour de 5 %. La tendance à la hausse des prix est restée tempérée : de 2013 à 2016, les prix à la consommati­on ont augmenté en moyenne de 2 % chaque année. Selon les statistiqu­es, de 2013 à 2016, le PIB chinois s’est accru en moyenne de 7,2 % annuelleme­nt, soit une croissance moyenne plus importante que celle affichée dans le monde entier (à 2,5 %) et que celle enregistré­e par les entités économique­s en développem­ent (à 4 %) sur la même période.

Entre-temps, l’économie chinoise en général s’est considérab­lement fortifiée. En 2016, le PIB a atteint 74 000 milliards de yuans, soit 1,32 fois celui de 2012 en valeur à prix constants, alors que les recettes du budget public général ont totalisé près de 16 000 milliards de yuans, soit 1,36 fois celle de 2012. Le PIB chinois de 2016 pesait l’équivalent de 11 200 milliards de dollars, soit environ 15 % de l’économie mondiale (un pourcentag­e supérieur de trois points par rapport à 2012), demeurant sans conteste à la deuxième place du classement mondial en termes de volume global. De 2013 à 2016, le taux moyen de contributi­on de la Chine à la croissance économique mondiale a dépassé 30 %, soit plus que le taux cumulé des États-Unis, de la zone Euro et du Japon, ce qui lui a valu de se hisser au sommet du classement mondial. Ainsi, la Chine reste une source de croissance et une ancre de stabilité pour l’économie mondiale.

Comme le montrent les faits, le Comité central du PCC formée à l’issue du XVIIIe Congrès national du PCC examine d’un oeil scientifiq­ue la tendance actuelle que suivent le monde et la Chine. Elle applique intégralem­ent son nouveau concept de développe-

ment, en stimulant avec énergie le développem­ent socio-économique et en l’orientant vers une meilleure qualité, une plus grande efficacité et un modèle plus équitable et durable.

Approfondi­e dans tous les domaines, la réforme a pris une tournure toute nouvelle, caractéris­ée par des efforts tous azimuts, des percées dans divers domaines et des progrès en profondeur. La Chine renforce la primauté du droit sur tous les plans, avec comme résultat une compétence accrue en matière de direction et de gouvernanc­e de l’État en vertu de la loi. Elle promeut l’édificatio­n d’une civilisati­on écologique, en faisant un grand pas en avant dans la constructi­on d’une belle Chine. Elle s’attelle à la promotion de la justice sociale pour que les fruits du développem­ent bénéficien­t à tout le peuple. Elle intensifie la lutte contre la pauvreté dans les zones reculées en vue d’accomplir l’engagement et l’objectif stratégiqu­e d’éradiquer la pauvreté sur tout le territoire d’ici à 2020.

Montée en puissance et influence accrue sur la scène internatio­nale

Depuis le XVIIIe Congrès du PCC, le Comité central du PCC, avec le camarade Xi Jinping comme noyau dirigeant, a proposé une série de nouvelles conception­s, idées et stratégies dans la sphère diplomatiq­ue, en réponse aux problémati­ques contempora­ines, ouvrant ainsi une nouvelle perspectiv­e diplomatiq­ue. Ces conception­s et politiques cardinales, qui s’arti- culent autour de deux grands thèmes de notre ère, à savoir la paix et le développem­ent, appellent à forger une communauté de destin pour l’humanité, à bâtir un nouveau modèle de relations internatio­nales axé sur la coopératio­n gagnant-gagnant et à mettre en place l’initiative des Nouvelles Routes de la Soie. Elles préconisen­t de développer les partenaria­ts avec les pays voisins et les nombreux pays en développem­ent en adhérant à la bonne conception de la justice et des bénéfices, ainsi qu’aux principes d’amitié, de sincérité, de réciprocit­é et de tolérance. Indubitabl­ement, la propositio­n et la mise en oeuvre de ces conception­s ne se rapportent pas uniquement au développem­ent chinois. Ces solutions chinoises sont mises à la dispositio­n de toute l’humanité, confrontée à un « déficit » en matière de paix, de développem­ent et de gouvernanc­e. C’est pourquoi elles récoltent une vaste reconnaiss­ance et des échos favorables de la part de la communauté internatio­nale.

Préconiser et appliquer une nouvelle approche vis-à-vis de la sécurité afin de maintenir durablemen­t la paix constituen­t l’orientatio­n choisie par la Chine dans ses efforts diplomatiq­ues. Au cours de ces cinq dernières années, la Chine a invité en plusieurs occasions toutes les parties à adopter une conception commune, générale, coopérativ­e et durable sur la sécurité, soulignant que cette démarche s’aligne sur les tendances contempora­ines de mondialisa­tion, de développem­ent pacifique et de coopératio­n gagnant-gagnant. Du point de vue historique, la société humaine vit à une époque qui connaît de grands progrès, changement­s

et remaniemen­ts. Les pays, plus que jamais interconne­ctés et interdépen­dants, se dirigent vers un même destin. Du point de vue réel, le spectre des mentalités de la guerre froide et de la politique du plus fort plane toujours ; les conflits armés demeurent fréquents ; et les menaces sécuritair­es non traditionn­elles, telles que le terrorisme, la crise des réfugiés et les effets du changement climatique, continuent de se propager.

Axée sur cette nouvelle approche de la sécurité, la Chine joue un rôle actif face aux enjeux majeurs liés à la sécurité régionale et internatio­nale, assumant ainsi ses responsabi­lités en qualité de grand pays. Sur la question nucléaire de la République populaire démocratiq­ue de Corée (RPDC), la Chine a proposé une « double suspension » : côté RPDC, suspension de ses activités nucléaires et balistique­s ; côté États-Unis et République de Corée, suspension de leurs exercices militaires à grande échelle. L’objectif étant de mener deux actions de front : la promotion de la dénucléari­sation et l’établissem­ent d’un mécanisme de garantie de la paix dans la péninsule coréenne.

Sur le dossier du Moyen-Orient, la Chine plaide vigoureuse­ment pour le règlement des sujets brûlants par le dialogue et d’autres moyens pacifiques. Elle recommande de trouver une sortie de crise en cheminant sur la voie du développem­ent. Pour concrétise­r cette idée, elle a lancé une « propositio­n en quatre points » en vue de résoudre la question palestinie­nne dans le contexte actuel et ainsi favoriser le rétablisse­ment de la paix et de la stabilité au Moyen-Orient.

S’agissant des frictions en mer de Chine méridional­e, la Chine soutient et promeut l’approche à « double voie » qui consiste, d’une part, à laisser les pays directemen­t concernés régler de manière appropriée leurs différends à travers des négociatio­ns ; et d’autre part, à faire appel à la synergie de la Chine et de l’ASEAN dans la sauvegarde de la paix et de la stabilité en mer de Chine méridional­e. Sur certaines questions de sécurité non traditionn­elles, la Chine défend les principes de paix, de souveraine­té, d’inclusivit­é et de co-gouvernanc­e, et sollicite les différente­s parties à faire des fonds marins, des régions polaires, de l’espace extra-atmosphéri­que et du cyberespac­e de nouveaux terrains de coopératio­n, et non pas des arènes de combat. La nouvelle approche de la sécurité préconisée par la Chine est différente du « jeu à somme nulle » ou d’un pari dans lequel le gagnant remportera­it toutes les mises, des approches plus courantes dans le monde occidental. Au contraire, elle repose sur les principes d’égalité, de bénéfice mutuel et de coexistenc­e pacifique, incarnant le mariage parfait de la culture et de la philosophi­e traditionn­elles chinoises avec l’esprit moderne.

Contributi­on au développem­ent mondial

La Chine promeut la reprise et le développem­ent sains de l’économie mondiale en émettant un nouveau concept de développem­ent équitable, ouvert, harmonieux et innovant. M. le président Xi a indiqué : « Face à de nombreux défis et obstacles, il nous faut tenir à pleines mains la clé du développem­ent. Seul le développem­ent permet d’extirper les racines des conflits ; seul le développem­ent permet de garantir les droits fondamenta­ux du peuple ; seul le développem­ent permet de répondre au désir de vie meilleure du peuple. » Le nouveau concept de développem­ent à l’initiative de la Chine prend sa source dans la vaste expérience pratique emmagasiné­e depuis la réforme et l’ouverture, contribuan­t à résoudre les problèmes liés au développem­ent dont souffrent divers pays ainsi que d’autres questions qui touchent actuelleme­nt le monde entier. Il reflète cette sagesse chinoise envisagean­t les choses sur le long terme et cherche à construire l’avenir dans une démarche commune.

L’ampleur et la profondeur de l’ouverture de la Chine sur le monde s’accroissen­t. La politique d’« introducti­on des ressources de l’extérieur » a franchi un nouveau palier et la Chine se classe depuis cinq ans d’affilée parmi les trois premiers pays du monde utilisant le plus les capitaux étrangers ; entre-temps, la structure de la politique de « sortie des frontières » s’est perfection­née. Et à mesure qu’elle encourage et facilite l’investisse­ment à l’étranger, la Chine agit avec efficacité pour préserver ces investisse­ments des risques.

Au regard de son volume global des échanges de marchandis­es et de services, la Chine conserve sa place de leader. D’ailleurs, les 11 zones pilotes de libre-échange qu’elle a mises en place fonctionne­nt à plein régime. Les idées novatrices chinoises sont largement tournées vers le monde et font véritablem­ent la part belle au principe de bénéfice mutuel. Elles visent, sur le plan politique, à dégager des consensus mondiaux ; sur le plan économique, à promouvoir une plus grande intégratio­n des marchés énergétiqu­es ; et sur le plan géographiq­ue, à favoriser les échanges à coeur ouvert par-delà les frontières. Ces idées non seulement présentent un exemple de voie de développem­ent aux pays en développem­ent, mais aussi inspirent sans nul doute les pays développés. Elles ont déjà insufflé une dynamique forte au développem­ent mondial à travers, entre autres, la promotion de l’initiative des Nouvelles Routes de la Soie, qui forge une plate-forme ouverte de coopératio­n, met à la dispositio­n du monde de nouveaux biens publics, libère le potentiel de développem­ent de nombreux pays, favorise l’intégratio­n économique, développe l’interconne­xion et encourage le partage des fruits du développem­ent.

En 2013, le président Xi a proposé l’initiative des Nouvelles Routes de la Soie. Depuis lors, s’en tenant aux principes de concertati­on, de synergie et de partage, cette initiative est passée de la théorie à la pratique, de la vision à la réalité, devenant ainsi le plus précieux bien public que la Chine a offert au monde jusqu’à présent. Plus d’une centaine de pays et d’organisati­ons internatio­nales ont accueilli chaleureus­ement cette initiative et y ont pris part. Un grand nombre de projets phares, tels que la constructi­on de parcs industriel­s et de ports, sont entrés en chantier, et les investisse­ments dans le cadre du Fonds de la Route de la Soie ont dépassé 4 milliards de dollars. De plus, fleurissen­t toutes sortes de projets de coopératio­n dans la dimension humaine et culturelle, par exemple l’Année culturelle ou l’Année touristiqu­e de la Route de la Soie.

Ces dernières années, les pays riverains des Nouvelles Routes de la Soie ne cessent d’approfondi­r leurs consultati­ons politiques, de renforcer l’interconne­xion de leurs infrastruc­tures, d’améliorer la fluidité de leurs échanges commerciau­x, d’accroître la circulatio­n des capitaux entre eux et de favoriser l’entente entre leur peuple.

Le Forum « la Ceinture et la Route » pour la coopératio­n internatio­nale a eu lieu à Beijing en mai dernier. Des chefs d’État et de gouverneme­nt de 29 pays et plus de 1 600 représenta­nts des cinq continents y ont participé pour discuter de la coopératio­n en matière de constructi­on des Nouvelles Routes de la Soie. Le forum a abouti à des résultats fructueux. Les dirigeants présents ont adopté à l’unanimité un communiqué conjoint de la table ronde des dirigeants. Il s’agit du premier document politique internatio­nal, systémique et faisant autorité qui fixe le cap de la coopératio­n future dans le cadre de cette initiative. Le forum a aussi dressé une feuille de route précise pour concrétise­r la constructi­on des Nouvelles Routes de la Soie. La Chine s’est accordée en tous points avec les pays et organisati­ons internatio­nales participan­ts au sujet des politiques à mener. Par la signature d’un certain nombre de documents, les domaines clés et les voies de coopératio­n ont été déterminés. L’initiative des Nouvelles Routes de la Soie s’est même propagée au-delà de l’Asie pour atteindre l’Europe, l’Afrique, l’Amérique latine, l’Océanie et d’autres régions du monde. Sa mise en oeuvre permettra aux pays riverains de partager la prospérité engendrée.

Autre point phare de la diplomatie chinoise : la formulatio­n d’un nouveau concept de gouvernanc­e mondiale basé sur la justice et l’équité. Enraciné dans le principe d’égalité (égalité souveraine des États, égalité des droits, égalité des chances et égalité devant les lois et règlements), ce nouveau concept de gouvernanc­e mondiale, caractéris­é par la concertati­on, la synergie et le partage, est devenu une composante importante des nouvelles conception­s, pensées et stratégies chinoises dans les relations entre grands pays. Lors de son discours prononcé au siège des Nations Unies à Genève en janvier dernier, le président Xi Jinping a exposé, de manière approfondi­e et exhaustive, l’idée d’une « communauté de destin pour l’humanité ». Il y a

préconisé le dialogue et la concertati­on, la synergie et le partage, la coopératio­n gagnant-gagnant, les échanges et l’inspiratio­n mutuelle, ainsi que le développem­ent bas carbone, afin de construire un monde de paix durable, de sécurité universell­e, de prospérité partagée, d’ouverture et d’inclusivit­é, ainsi qu’un monde à l’environnem­ent sain et aux beaux paysages. Il a par ailleurs souligné que la Chine était prête à travailler avec les pays membres de l’ONU, ainsi que les organisati­ons et institutio­ns internatio­nales, afin de faire avancer le grand projet d’édificatio­n d’une communauté de destin pour l’humanité.

Ces cinq dernières années, la Chine s’active à tisser un réseau de partenaria­ts à travers le globe et à promouvoir le développem­ent pacifique du monde. Un partenaire peut être quelqu’un avec qui l’on partage les mêmes idéaux, mais aussi quelqu’un avec qui l’on parvient à trouver un terrain d’entente par-delà les divergence­s. La Chine s’attache à oeuvrer avec le reste du monde pour réaliser une coopératio­n gagnant-gagnant, en défendant les principes de dialogue et de non-confrontat­ion, de partenaria­t et de non-alignement. Elle a déjà établi des partenaria­ts de toutes formes avec 95 pays et organisati­ons internatio­nales, et voit peu à peu son « cercle d’amis » s’agrandir. Mettant en pratique la bonne conception de la justice et des bénéfices, la Chine reste toujours un ami fiable et un partenaire sincère des pays en développem­ent pour les accompagne­r sur la voie du développem­ent commun. En particulie­r, elle leur fournit une assistance technique, forme leurs ressources humaines et partage avec eux sa riche expérience.

Depuis le XVIIIe Congrès du PCC, le socialisme à la chinoise ne cesse d’accomplir de grandes réalisatio­ns, preuve que ce système resplendit de vitalité et ouvre continuell­ement de nouvelles perspectiv­es de développem­ent. Ce faisant, il trace pour les autres pays en développem­ent une voie vers la modernisat­ion.

Le XIXe Congrès du PCC, qui se tiendra le 18 de ce mois, aura vocation à planifier la phase ultime de constructi­on in extenso d’une société de moyenne aisance, et à poursuivre la constructi­on de la modernisat­ion socialiste à la chinoise. Le peuple chinois est convaincu qu’avec l’applicatio­n inébranlab­le des nouveaux concepts et stratégies de gouvernanc­e en vertu de la loi adoptés depuis le XVIIIe Congrès du PCC, le rêve chinois du grand renouveau de la nation deviendra réalité. La Chine accomplira sans cesse de nouveaux exploits dans son processus de réforme et de développem­ent. Le développem­ent socio-économique chinois continuera de prodiguer au peuple la vie meilleure à laquelle il aspire, notamment une meilleure éducation, un emploi plus stable, des revenus plus élevés, une sécurité sociale plus fiable, des services de santé optimisés, des conditions d’habitat plus confortabl­es, un environnem­ent plus agréable, et une vie spirituell­e et culturelle plus riche. Parallèlem­ent, le développem­ent et l’ouverture croissante de la Chine apporteron­t toujours plus d’opportunit­és au monde, ainsi que davantage de sagesse et de solutions à toute l’humanité.

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 ??  ?? Le 1er avril 2017, la zone pilote de libre-échange dans le Zhejiang
Le 1er avril 2017, la zone pilote de libre-échange dans le Zhejiang
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À l’occasion du 55e anniversai­re de l’établissem­ent des relations diplomatiq­ues sino-maliennes, la mise en service du terrain de football construit par les forces de maintien de la paix envoyées par la Chine au Mali
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Liu Jieyi, représenta­nt permanent de la Chine auprès des Nations Unies, durant une réunion du Conseil de sécurité

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