Coup de Pouce

CHAQUE MINUTE COMPTE

- MERCI À VINCENT BLANCHETTE, TECHNICIEN AMBULANCIE­R PARAMÉDIC, ET À FRANCIS BRISEBOIS, DE LA COOPÉRATIV­E DES PARAMÉDICS DE L’OUTAOUAIS. PC

POUR LES PARAMÉDICS QUI TRANSPORTE­NT DES PATIENTS VERS L’HÔPITAL, LE TEMPS EST PRÉCIEUX. VOICI QUATRE CHOSES À SAVOIR POUR FACILITER LE TRANSPORT AMBULANCIE­R, QUE L’ON SOIT PATIENT, ACCOMPAGNA­NT OU AUTOMOBILI­STE.

On leur facilite l’accès. Si on a appelé le 911 pour un proche, on s’assure que les paramédics peuvent accéder au patient rapidement et aisément en libérant le stationnem­ent et en dégageant les corridors. On a un animal? On l’enferme dans une pièce, à l’écart.

On répond aux questions. Pour évaluer notre condition, les paramédics nous poseront des questions. Comme ils doivent agir vite, notre devoir est d’y répondre directemen­t et succinctem­ent. Inutile de remonter 10 ans en arrière; ce qui compte, c’est maintenant.

On demeure ouverte sur le choix de l’hôpital. Même si on veut être transporté­e dans un établissem­ent précis, il y a des chances qu’on soit admise ailleurs. Après l’évaluation des soins que nécessite notre état et selon les critères régionaux, le paramédic jugera s’il peut répondre à notre demande.

On n’évitera pas le triage. Que l’on arrive à l’hôpital par nos propres moyens ou en ambulance, on devra quand même passer par l’étape du triage (pour déterminer notre niveau de priorité) avant de voir un médecin. Quand la situation est grave, il s’effectue par téléphone en chemin vers l’hôpital.

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