Plus que des colliers
LORSQU’ELLE CONFECTIONNAIT SES PREMIERS BIJOUX DE NOISETIER DANS SON PETIT ATELIER DE SHERBROOKE, GENEVIÈVE LAGACÉ NE SE DOUTAIT PAS DU SUCCÈS QUI L’ATTENDAIT. SUBMERGÉS DE TÉMOIGNAGES ET PIONNIERS DANS LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE, SON MARI ET ELLE PEUVENT SE VANTER D’AVOIR FAIT REVIVRE UNE ANCIENNE TRADITION AMÉRINDIENNE AVEC PUR NOISETIER.
L'entreprise est indétrônable sur le marché depuis plus de 20 ans et jouit de belles percées à l’échelle mondiale. Elle offre maintenant une grande diversité de produits: plus de 100 modèles de colliers pour adultes et pour enfants, des bracelets simples ou doubles et même une mitaine de dentition, un produit sécuritaire et sans produit chimique. «La mitaine complète à merveille le collier de noisetier pour soulager les bébés lors de poussées dentaires, indique Mme Lagacé, copropriétaire de l’entreprise avec son conjoint, Patrick Lafond, diplômé en foresterie. Bébé peut mordiller à souhait la mitaine qui recouvre sa main.» Des milliers de
familles québécoises satisfaites, enfants comme adultes, portent les colliers et bracelets Pur Noisetier pour aider à réduire leurs symptômes liés à l’inflammation: ulcères dans la bouche, brûlures d’estomac, douleurs arthritiques, arthrose, psoriasis, eczéma et autres problèmes de peau, etc. «Ça ne guérit pas nécessairement ces affections, nuance Mme Lagacé, mais ça soulage. Nous recevons beaucoup de témoignages de gens qui obtiennent de beaux résultats avec nos produits. C’est ce qui nous encourage à poursuivre.»
DU CÔTÉ DE LA RECHERCHE
Pour en avoir le coeur net, les propriétaires ont investi plus d’un million de dollars dans la recherche. Des études scientifiques ont confirmé la richesse des extraits de noisetier utilisés par la compagnie en polyphénols, molécules reconnues pour leurs vertus antioxydantes, anti-inflammatoires et antibactériennes. Mieux encore: n’ayant aucun effet secondaire indésirable, le noisetier est parfaitement sécuritaire. «Mais pour profiter pleinement de ses effets, il faut changer son collier tous les trois à six mois, soutient Geneviève. Dès qu’on sent ses bienfaits s’estomper.»
«Nous recevons beaucoup de témoignages. C’est ce qui nous encourage à poursuivre.» − Geneviève Lagacé