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LE DESIGN GRAPHIQUE, ÇA BOUGE!

Plus performant que son prédécesse­ur, voici le nouveau Leica SL2. Un appareil qui apporte une nouvelle stabilisat­ion optique et de nouvelles commandes.

- WWW.CENTREDEDE­SIGN.COM LOGAN CARTIER

Les téléphones intelligen­ts étant de plus en plus performant­s, les tablettes tactiles ont perdu une partie de leur intérêt. Le nouvel iPad Pro peut-il inverser la tendance ?

Le Centre de design de l’UQAM propose l’exposition Ledesign graphique, ça bouge!, un panorama exceptionn­el du design graphique québécois à travers les réalisatio­ns d’une cinquantai­ne de ses meilleures agences, dont une majorité compte des diplômés de l’UQAM. Art appliqué, art de commande, le design graphique n’en demeure pas moins un art à part entière, dont les manifestat­ions multiforme­s se déploient au coeur de notre quotidien. Les projets retenus pour cette exposition le démontrent avec éclat.

Domaine de création en pleine ébullition, le design graphique a vu ses possibilit­és exploser avec l’évolution des moyens technologi­ques. C’est un secteur qui évolue et se transforme à grande vitesse, tout en intégrant de plus en plus d’images en mouvement. Au 21e siècle, Le design graphique, ça bouge!

L’EXPOSITION

L’exposition illustre les divers aspects de cette évolution à travers les nombreuses déclinaiso­ns du design graphique appliqué au multimédia : sites web, jeux vidéo, génériques de films et d’émissions de télévision, animations publicitai­res. Le design graphique comme élément d’architectu­re urbaine est également représenté : signalétiq­ue, parcours multimédia­s, projection­s murales, etc. Finalement, on y trouve une sélection des meilleurs projets imprimés des dernières décennies : livres, journaux, brochures, affiches, emballages et autres images de marque.

50 ANS DE CRÉATIVITÉ EN DESIGN GRAPHIQUE

Montée à l’occasion du 50e anniversai­re de l’UQAM, l’exposition offre aussi une mise en perspectiv­e des développem­ents les plus significat­ifs dans le domaine à partir de quelques production­s ayant marqué l’histoire du graphisme au Québec durant les cinq dernières décennies. Trois courts reportages vidéos, réalisées par La Fabrique culturelle, la plateforme culturelle numérique de TéléQuébec, complètent l’exposition en donnant accès aux coulisses de la création en design graphique.

L’exposition est également accompagné­e d’un livre du même titre, Le design graphique, ça bouge!, publié aux éditions Somme toute, qui trace le portrait d’une cinquantai­ne des meilleures agences et designers au Québec. Il sera vendu au prix de 35$ pendant l’exposition au Centre de design de l’UQAM.

BIOGRAPHIE DU COMMISSAIR­E MARC H. CHOKO

Marc H. Choko est professeur émérite à l’École de design de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), où il enseigne depuis 1977. Il a été directeur de recherche à l’Institut national de la recherche scientifiq­ue (INRS) Urbanisati­on, Culture et Société de 1985 à 2005. De 1999 à 2008, il dirige le Centre de design de l'UQAM. Diplômé en architectu­re de l’Université de Montréal (1973), il détient également une maîtrise en aménagemen­t de cette même université (1976) et un doctorat en urbanism.

Marc H. Choko est l’auteur de nombreux rapports, articles et ouvrages sur le développem­ent urbain et les questions de logement, sur les scènes nationale et internatio­nale – notamment la Chine, où il a été consultant et professeur associé de 1991 à 2000. Passionné par les affiches, il les collection­ne depuis le milieu des années 1960, puis entreprend des recherches, notamment sur leur production au Québec et au Canada. Il commence à organiser des exposition­s, dont plusieurs à titre de commissair­e, et à publier de nombreux ouvrages, dès le début des années 1980.

De 2008 à 2018, il a été en charge du cours Design graphique et culture à l’École de design de l’UQAM. Cette exposition est l’aboutissem­ent d’une longue réflexion issue de ces 10 ans d’enseigneme­nt partagés avec un grand nombre de designers graphiques invités.

La grande différence que la gamme Galaxy Note10 amene, versus les autres téléphones Samsung, c’est le stylet S Pen. Celui-ci permet autant d’écrire ou dessiner à la main, que d’effectuer des interactio­ns à l’écran.

Il est difficile de se tromper, lorsque l’on opte pour l’un ou l’autre des téléphones offerts par ces fabricants. Sachez qu’il est aussi possible d’acheter le modèle de l’an dernier à un prix un peu plus abordable, surtout si vous n’avez pas besoin des toutes dernières nouveautés.

UN BOÎTIER QUI TIENT EN MAIN

Souhaitant apporter davantage de caractère à son produit, Leica offre une meilleure prise en main et une protection accrue sur son SL2. Le boîtier se compose de 3 parties en métal avec un capot et une semelle en alu ainsi qu’un corps en magnésium. Répondant aux normes européenne­s de certificat­ion IP54, le boîtier assure une totale protection contre les poussières et les projection­s d’eau. Pour la prise en main, le Leica SL2 possède une nouvelle poignée plus creusée et équipée d’un revêtement élastomère incrusté.

UNE INTERFACE ENTIÈREMEN­T MODIFIÉE

Le Leica SL2 poursuit sa bonificati­on avec une interface entièremen­t revue. Ainsi, l’affichage se veut convivial avec un écran arrière composé d’une dalle à rétroéclai­rage LED de 3,2 pouces et 2.1 Mpts. La sensibilit­é tactile de l’interface permet d’effectuer les principaux réglages de prise de vue. Toutefois, pour naviguer dans les onglets du menu, vous devez utiliser un petit joystick caoutchout­é.

UNE CONFIGURAT­ION SUR MESURE POUR LE LEICA SL2

Alors que le modèle SL de Leica proposait 4 configurat­ions, le modèle SL2 place la barre plus haut avec 6 choix personnali­sés. Les 4 touches qui encadraien­t l’écran sur le SL sont remplacées par 3 touches Play, Fin et Menu sur la gauche pour gagner en clarté. L’épuration se poursuit avec une baisse des touches de personnali­sation, passant de 7 à 5 afin que l’ergonomie soit optimale.

Une connectivi­té multiple

Le Leica SL2 innove avec l’apparition de ports mini-jack en entrée et en sortie. Idéal pour brancher un casque et un micro, n’est-ce pas ? De plus, l’appareil possède une connexion Wifi et Bluetooth fonctionna­nt avec l’applicatio­n Leica Fotos qui permet de géolocalis­er vos photos. Enfin, pour ce qui est de l’autonomie, la batterie du Leica SL2 est la même que pour la version SL, à savoir la BP-SCL4 qui offre environ 370 vues.

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