Échos vedettes

Des révélation­s surprenant­es

Érika et Alex

- CAROLYNE MARENGO (Lire la suite de l’entrevue à la page suivante.)

ALEXANDRE TURGEON ET ÉRIKA BROUILLARD FORMAIENT, SELON PLUSIEURS, L’UN DES PLUS BEAUX COUPLES D’OCCUPATION DOUBLE EN CALIFORNIE. ON LES A RENCONTRÉS À LEUR PREMIÈRE APPARITION PUBLIQUE, TROIS SEMAINES APRÈS LEUR SORTIE OFFICIELLE DE L’AVENTURE. RÉVÉLATION­S SURPRENANT­ES! Comment se sont déroulées vos trois semaines passées sans les caméras, à votre sortie d’Occupation double?

Érika: On nous envoie dans un condo pendant trois semaines, où on vit 24 heures sur 24 sans pouvoir sortir. C’est un peu compliqué au début d’une relation. On était tout le temps collés, on vivait d’amour et d’eau fraîche. Mais on avait hâte de revenir à la réalité. Avant OD, j’étais partie travailler dans le Nord, alors je n’avais pas vu beaucoup ma famille et mes amis. Je mourais d’envie de téléphoner à mon père!

Alex: On a fait des activités réservées aux exclus ensemble, entre autres une journée aux Universal Studios. Mais ces semaines ont été difficiles pour Érika. Elle s’ennuyait de sa famille. Je me posais des questions... «Est-ce moi qui l’ennuie?» Je voulais la désennuyer, mais ça faisait juste en sorte qu’elle ne voulait pas que je sois là! [Rires]

Comment voyez-vous la suite de votre couple?

Érika: On va d’abord retrouver nos vies et essayer ensuite de les mettre ensemble. Maintenant, on va faire ce dont on a envie: voir les amis, la famille. On va être plus heureux là-dedans. On continuera à se voir à travers ça, dans les événements, et essayer de faire en sorte que la relation passionnel­le et magnifique d’OD se poursuive avec nos deux réalités.

Alex: Avant OD, on mettait beaucoup de temps dans notre travail. Notre vie personnell­e était mise de côté au profit de la job. Quand on est arrivés à Occupation double, c’était l’inverse. Maintenant, c’est le retour à la vraie vie. Va-t-on être capables de tout joindre, et d’être bien là-dedans? On n’a pas encore la réponse à cette question.

Retournes-tu travailler comme infirmière à Sept-Îles?

É.: Non, pas du tout. J’arrive de là. Je compte y retourner un jour, mais maintenant, je pense prendre des contrats à Montréal ou dans les Laurentide­s [dit-elle en regardant Alex]. On m’a offert quelque chose d’exceptionn­el à Sept-Îles, en début de carrière. La chirurgie, je n’avais jamais fait ça. J’ai appris énormément. L’équipe de soins était super! Je travaillai­s environ 75 heures par semaine. J’étais toujours là! On m’a nommée chef d’équipe de l’unité de chirurgie. J’ai adoré mon expérience!

Tu es, semble-t-il, une fille intellectu­elle?

É.: Oui, vraiment! Pendant toute mon enfance, j’ai adoré l’école. J’arrivais chez nous et j’avais hâte de faire mes devoirs. Jamais ma mère n’a eu à me dire de les faire! À la limite, je les faisais en avance et j’en demandais plus à mes professeur­s! J’allais même à la bibliothèq­ue durant mes pauses pour en faire. J’aime apprendre. J’ai adoré tous mes professeur­s! Je m’assoyais en avant dans chaque classe. J’étais complèteme­nt absorbée par toutes les matières, surtout par la chimie, la physique et les mathématiq­ues!

Alex, seras-tu à nouveau pompier et barman au club AQUA, à Boisbriand?

Je combine les deux depuis trois ans. Je retourne comme pompier à ma caserne, à Montréal, et au service, à Boisbriand. Juste avant OD, j’étais sur le point de lâcher les clubs. À un moment donné, ça s’ancre dans ta vie personnell­e. C’est impossible de commencer une relation de couple en étant heureux quand le vendredi et le samedi soirs, tu travailles dans un bar. J’ai vraiment apprécié mes soirées avec la gang, mais je suis rendu ailleurs.

Le fais-tu pour Érika?

É.: Jamais je ne lui demanderai­s de lâcher un travail qu’il aime! Je pense qu’Alex travaillai­t dans les bars pour les bonnes raisons: c’est une manière facile de faire de l’argent. En plus, il aimait ce qu’il faisait et l’équipe avec laquelle il travaillai­t. Je pense que sa décision est liée à ses expérience­s de vie.

A.: Oui, c’est plus ça. Pour ma famille, aussi: ma soeur est nouvelle maman. Elle va bientôt recommence­r à travailler, du lundi au vendredi. Elle habite au Saguenay, à cinq heures de route. Si je continue à être barman le week-end, je ne verrai jamais ma soeur et son petit.

Alex, tu as également posé pour le magazine Summum Girl. Souhaites-tu refaire des photos légèrement vêtu?

[Alex hésite, regarde Érika...]

A.: Quand je rencontre une fille, je me bats pendant une heure. Être barman, pompier, faire des calendrier­s... Je suis barré!

É.: Moi, je n’ai rien contre ça. Il m’en avait parlé. Il a un beau corps, il est jeune, et s’il aime ça, pourquoi pas?

A.: Chaque contrat en photo m’a apporté quelque chose. Ce sont de bonnes expérience­s dans ma vie, alors pourquoi pas? Mais on a mangé à n’en plus finir pendant trois mois à Occupation double. Je n’entre plus dans mes pantalons! Vaisje refaire le Summum Girl une sixième fois? Je ne sais pas.

J’ai travaillé pour des agences de mannequins quand j’étais plus jeune. Je pense

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