Échos vedettes

11 questions télé à... Bruno Marcil

VOTRE PLAISIR COUPABLE? Je dois admettre que j’ai embarqué très fort dans Occupation Double à une certaine époque. Mais l’année dernière, quand j’ai commencé à écouter cette émission, j’ai réussi à m’arrêter. Le sevrage s’est plutôt bien passé. LA DERNI

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EN PLUS DE JOUER JEAN-FRÉDÉRIC THÉRIAULT, UN AGENT D’ARTISTES DANS LA SÉRIE LES INVISIBLES, DIFFUSÉE LES LUNDIS À 21 H, À TVA, BRUNO MARCIL A SORTI UN DEUXIÈME ALBUM, LES MARCHES LENTES,

DANS LEQUEL IL SE LIVRE BEAUCOUP. LE SYMPATHIQU­E COMÉDIEN ET AUTEUR-COMPOSITEU­R-INTERPRÈTE A ACCEPTÉ D’EMBLÉE DE RÉPONDRE À NOTRE QUESTIONNA­IRE TÉLÉ.

LE PERSONNAGE LE PLUS EXIGEANT QUE VOUS AVEZ INCARNÉ? Celui de Maurice Richard dans la série Béliveau. Jouer ce rôle représenta­it un certain défi. Je n’avais pas joué au hockey depuis 33 ans et je devais tenir mon bâton de mon mauvais côté pour être fidèle au «Rocket». Après 12 heures de tournage au Centre Bell, j’avais vraiment le corps en compote.

LA SÉRIE OU LE TÉLÉROMAN D’ICI QUI VOUS A LE PLUS MARQUÉ?

Lance et compte était une série que j’aimais beaucoup. Peut-être davantage pour ses actrices que pour ses acteurs! L’émission Les lundis des Ha! Ha! était aussi un moment de télé que je ne pouvais pas manquer. L’ÉMISSION QUE VOUS ÉCOUTEZ EN FAMILLE? Conseils de famille est une émission que mes filles adorent. Je la regarde parfois avec elles. L’ÉMISSION QUI A MARQUÉ VOTRE ENFANCE?

Les Onyx. Cette émission racontait l’histoire d’une famille de marionnett­es vivant dans un décor de roches. C’était tellement étrange que j’avais l’impression de prendre les mêmes drogues que les créateurs de l’émission. (rires)

L’ÉMISSION QUI A MARQUÉ VOTRE ADOLESCENC­E?

Three’s Company (Vivre à trois). J’ai tellement passé de temps à regarder cette émission qui était pourtant d’une rare insignifia­nce! J’en suis resté marqué, mais j’ignore toujours pourquoi. (rires)

VOTRE SÉRIE-CULTE?

Je dois être franc, j’ai peu de temps pour regarder la télé. Mais la série Twin Peaks, de David Lynch, m’a clairement marqué. J’aime cette réalisatio­n décalée. SI VOUS POUVIEZ INCARNER UN HÉROS POUR UNE JOURNÉE, QUI CHOISIRIEZ-VOUS?

J’aimerais bien jouer l’incroyable Hulk. C’est vraiment un super rôle, celui du gars qui ne veut pas être en colère pour ne pas réveiller la bête qui sommeille en lui. C’est un personnage à qui on peut donner une grande complexité et une grande profondeur. Mark Ruffalo, son interprète, a d’ailleurs fait un excellent travail dans ce sens. UN PERSONNAGE QUE VOUS AURIEZ AIMÉ INTERPRÉTE­R? Toute mon enfance, j’ai rêvé d’être Steve Austin (Lee Majors), l’homme de six millions de dollars. Aujourd’hui, je dirais que ce rêve a perdu beaucoup de son importance. ON VOUS DONNE CARTE BLANCHE POUR CRÉER UNE SÉRIE TÉLÉ. QUE FAITES-VOUS?

Je ferais une série qui s’appellerai­t Les Invisibles et je jouerais Jean-Frédéric, un agent d’artistes redoutable et tourmenté. Alexis Durant-Brault ferait la réalisatio­n et ce serait un grand bonheur.

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