5 choses à savoir sur... Qu’est-ce qu’on a encore fait au Bon Dieu?

LA SUITE DU FILM À SUCCÈS QU’EST-CE QU’ON A FAIT AU BON DIEU? PRENDRA L’AFFICHE LE 15 MARS. LES VERNEUIL ONT QUATRE FILLES, CHACUNE MARIÉE À UN HOMME DE NATIONALITÉ DIFFÉRENTE QUI VEUT PARTIR VIVRE À L’ÉTRANGER. LES KOFFI, VENUS DE CÔTE D’IVOIRE, ARRIVENT EN FRANCE POUR MARIER LEUR FILLE. QU’ARRIVERA-T-IL À TOUT CE BEAU MONDE? VOICI 5 CHOSES À SAVOIR SUR CE NOUVEL OPUS.

Le réalisateur Philippe de Chauveron a contribué au scénario de la comédie Père fils thérapie!, la version française du film québécois De père en flic d’Émile Gaudreault.

Christian Clavier a déclaré: «J’avais dit à Philippe de Chauveron, le réalisateur, que je le suivrais si l’aventure se poursuivait, car je m’étais régalé lors du premier volet et vu le triomphe qui a été réservé à ce film, ça me paraissait évident de jouer dans la suite.»

L’affrontement entre les deux beaux-pères — Claude Verneuil (Christian Clavier), un Français rigide de province, et André Koffi (Pascal Nzonzi), un Ivoirien de province aussi coincé —, chacun avec ses préjugés, est une source de comédie riche, car au fond, les deux se ressemblent beaucoup. Le scénariste enchaîne: «Les personnages sont des archétypes, on peut leur faire dire des choses parfois énormes.» Le réalisateur conclut: «J’ai un penchant pour les sujets de société et l’envie d’en rire, tout en restant bienveillant.» Durant le tournage, Christian Clavier s’est montré difficile envers les interprètes de ses quatre gendres. Il était froid avec eux jusqu’à les faire trembler. Pourquoi? Afin de maintenir «une espèce de crainte, le vrai rapport qu’ont les gens avec leur beau-père», a confié Clavier.

Si le scénario de Qu’est-ce qu’on a encore fait au bon Dieu? ressemble à une vraie partition avec son rythme et ses répliques punchées, les coscénaristes Philippe de Chauveron et Guy Laurent ont pourtant admis qu’ils improvisaient chaque scène avant de l’écrire. «Les acteurs, eux, ont leur partition. Mais comme ils connaissent bien leur personnage, ils sont à même de faire des propositions sur le plateau.»