Échos vedettes

Francisco Randez: Sucré salé, une grande école

- MARIE-CLAUDE DOYLE

CET ÉTÉ, FRANCISCO RANDEZ CÉLÈBRE SA 10e SAISON À TITRE DE REPORTER À SUCRÉ SALÉ. SI LE CHRONIQUEU­R EST COMBLÉ, L’ACTEUR ET L’HOMME D’AFFAIRES LE SONT TOUT AUTANT: FRANCISCO SERA DE RETOUR DANS 5e RANG ET IL EST AUSSI À LA TÊTE D’ENTREPRISE­S FLORISSANT­ES.

Sucré salé, c’est pas seulement 10 ans de sa vie. «C’est la job que j’ai gardée le plus longtemps! (rires) C’est un accompliss­ement pour moi. Sucré salé, ç’a été une grande école pour moi. J’ai fait des centaines d’entrevues, des rencontres exceptionn­elles. Cet été, j’ai rencontré Serge Fiori pour la première du show Seul ensemble à Québec, et c’était extraordin­aire. C’est une de mes rencontres les plus précieuses. J’ai appris quelque chose de chaque personne que j’ai rencontrée dans les 10 dernières années. Ça m’a non seulement aidé dans mon métier, mais ça m’a aidé à grandir comme humain. Sucré salé, ç’a été l’occasion extraordin­aire d’apprendre le métier d’interviewe­ur, parce qu’on est super bien encadrés, avec une équipe de recherchis­tes hallucinan­te. Beaucoup d’amitiés se sont formées à travers le temps», raconte Francisco Randez.

En plus de Sucré salé, il est aussi chroniqueu­r mode et tendances à Salut Bonjour depuis deux ans et, tout récemment, à Salut Bonjour Weekend. C’est un été occupé, mais bien le fun pour celui qui a commencé à préparer le Bal de Sainte-Justine, en soutien à la Fondation CHU Sainte-Justine, qui aura lieu en mars 2020 et dont il sera parrain pour la sixième année.

DES REBONDISSE­MENTS ÉTONNANTS

L’acteur en lui s’épanouit en jouant Vince, le leader d’un groupe criminalis­é, dans 5e rang. «Il va y avoir des rebondisse­ments très étonnants dans la deuxième saison. Ça m’a permis de jouer des choses que je n’avais jamais jouées. Il y a un certain humour dans cette émission. Je pense à certains échanges auxquels j’ai assisté entre Luc Senay et Frédéric Millaire-Zouvi. Ils sont drôles les deux ensemble dans la dynamique de leurs personnage­s. Moi, je viens mettre une espèce d’ombre au tableau dans cette relation et dans le village. On va me voir davantage cet automne et beaucoup plus dès janvier.»

ENTRE MONTRÉAL ET LE SALVADOR

Homme d’affaires aguerri, Francisco Randez ouvrira un troisième restaurant Hà à Montréal à la fin de l’automne, dans le quartier Saint-Henri. Les deux autres succursale­s sont sur le Plateau et dans le Vieux-Montréal, arrondisse­ment où se trouve également le Nhâu Bar. «Avec le Hà, on a des visées pour aller ailleurs. Peut-être à Québec, à Toronto...»

Et qu’en est-il de son projet d’ouvrir un hôtel au Salvador? «On va documenter ça pour la télévision; c’est tout ce que je peux dire. Est-ce que ce sera un hôtel? Peut-être. On verra tout ça dans le show qu’on fera. Mon but, c’est de partager ça avec les Québécois. Je vais le faire avec transparen­ce, en montrant quelles sont les étapes, parce qu’on pense que c’est simple dans les pays où il y a une certaine simplicité, mais, des fois, c’est un peu plus compliqué.»

En octobre dernier, il s’est rendu là-bas pour plusieurs mois afin de tâter le terrain et, cet automne, il y retournera pour commencer les tournages. «Je ne déménage pas au Salvador. Je suis attaché au Québec, à mes relations, à mes business et à ma carrière ici. Je vais continuer à passer plus de temps ici que là-bas. Je veux juste y passer quelques semaines durant l’hiver pour monter une structure de business qui fera en sorte que je pourrai m’associer avec quelqu’un de là-bas et superviser ça d’ici, si ça se fait.»

Sa blonde, Ariane Brien Chicoine, avec qui ça fera un an à la fin d’août qu’il est en couple, est au Salvador en ce moment. «Elle développe ses projets là-bas; elle vit entre le Salvador et ici. On n’a donc pas vraiment une relation traditionn­elle. Elle reviendra bientôt, et on verra où on en est. On s’aime beaucoup. C’est une personne à qui je suis très attaché, et on est beaucoup dans la liberté, l’indépendan­ce. Je suis rendu dans une place dans ma vie où c’est le fun d’avoir une relation, mais il faut que ça fasse du sens et que tout le monde soit heureux.»

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