Échos vedettes

Gala ARTIS: tous les potins de vos chouchous

- PAR SAMUEL PRADIER

Une semaine après sa victoire à Star Académie, WILLIAM CLOUTIER était de retour en direct à la télé pour un numéro avec Josiane Comeau. Même s’il a eu peu de temps pour se remettre de ses émotions, William savoure surtout le fait de pouvoir profiter de ses enfants. De plus, dès le lendemain du gala, des rencontres étaient prévues pour savoir ce qu’il veut faire dans les prochains mois. «Je veux battre le fer pendant qu’il est chaud. Je vais saisir les opportunit­és, essayer de faire le plus de musique possible afin d’arriver à la tournée avec Lunou, à l’hiver 2022, avec mes propres chansons et, éventuelle­ment, mon propre album. Ce serait génial!»

Gagnante d’un Artis pour le meilleur rôle féminin dans une série dramatique saisonnièr­e dans Les pays d’en haut, SARAH-JEANNE LABROSSE est revenue sur la crise qui secoue actuelleme­nt le milieu de la télé et du cinéma. «Dans la dernière année, beaucoup d’enjeux ont été soulevés, et on a une certaine responsabi­lité. On se doit de prendre en compte le bien-être des gens qui travaillen­t avec nous, mais aussi le bien-être des gens qui nous écoutent. On a des conversati­ons importante­s à avoir en ce moment.» La comédienne amorcera les tournages de la nouvelle saison de Révolution au début du mois de juin. «Je commencera­i à monter les entrevues avec les danseurs dans les deux prochaines semaines, et les tournages arriveront ensuite.» Par ailleurs, Sarah-Jeanne est famille d’accueil pour un chien, Hank, qui sera mis en adoption d’ici un mois. «Je l’aime tellement! Je vais avoir du mal à le laisser partir.»

Les beaux malaises 2.0 ont été plébiscité­s par le public, et cet amour s’est répercuté sur les résultats du Gala ARTIS. MARTIN MATTE a récolté le trophée du meilleur comédien dans une comédie, en plus d’être élu personnali­té masculine de l’année. «C’est la cerise sur le sundae, parce que j’étais déjà comblé. La vague d’amour lors de la diffusion des Beaux malaises a été impression­nante. Les prix, c’est juste un plus.» L’humoriste ne ferme pas la porte à une nouvelle saison, mais pas avant quelques années. «J’aimerais éventuelle­ment revenir pour voir où en sont rendus ma famille, mes enfants et mes amours... Peut-être dans trois ou quatre ans.» Dans les prochains mois, il devrait se mettre à l’écriture d’un nouveau projet. «J’ai une idée dans la tête. Ce sera un film ou une série télé, on verra. J’attends des jours meilleurs pour me lancer là-dedans. Ce n’est pas facile actuelleme­nt. Les enfants font l’école dans leur chambre, je fais faire des rénos... Je n’ai pas une grande motivation pour écrire tout de suite.»

Alors que son conjoint, Mani Soleymanlo­u, prendra la direction artistique du Théâtre français du Centre national des Arts d’Ottawa, SOPHIE CADIEUX n’a toutefois pas l’intention de déménager dans la capitale fédérale, elle qui vient tout juste de terminer les rénovation­s de sa maison. «Il n’a pas besoin d’être en permanence là-bas. Sinon, j’irai le rejoindre les fins de semaine avec notre garçon. On va s’inventer quelque chose de nouveau, en faisant des allers-retours. C’est maintenant plus complexe avec l’école, mais ça devrait bien se faire.»

Avec deux trophées — Meilleur rôle féminin dans une comédie et Personnali­té féminine de l’année —, JULIE LE BRETON est comblée, même si elle désespère de retrouver une vie normale et souhaite pouvoir bientôt socialiser et aller danser. «Le retour des Beaux malaises était déjà un cadeau de la vie, surtout en cette année où on avait besoin de rire. Le prix pour le rôle vient me dire que tout le monde était heureux qu’on soit de retour!» Début juin, Julie Le Breton amorcera le tournage d’une nouvelle série signée Xavier Dolan, adaptée d’une pièce de théâtre qu’elle avait jouée au TNM en 2018, La nuit où Laurier Gaudreault s’est réveillé. «Xavier a adapté la pièce en cinq épisodes pour en faire une série formidable. Ce ne sera pas complèteme­nt la même chose. Magalie Lépine-Blondeau, Patrick Hivon, Éric Bruneau et moi, on reprend nos rôles. Xavier, Julianne Côté et Anne Dorval se joindront aussi à la distributi­on.»

MEHDI BOUSAIDAN a repris sa tournée, intitulée Demain. «C’est différent, parce qu’il y a moins de gens dans les salles et qu’ils ont des masques, mais on s’y habitue très vite. Les gens sont tellement contents d’assister à des spectacles que ça fonctionne bien.» Dans les prochaines semaines, il a également plusieurs tournages de nouvelles séries, qui n’ont pas encore été annoncées, et il attend la confirmati­on d’une troisième saison pour Rue King.

En deuil de son père, décédé le 27 avril, DAVE MORISSETTE a tenu à rendre hommage à celui qui était aussi son meilleur ami. «C’est le gars que j’appelais avant et après chaque émission. Ce soir, c’est la première fois que je ne l’ai pas appelé avant le gala. En même temps, je suis tellement privilégié d’avoir pu vivre tous ces beaux moments avec lui.» Après les séries, le commentate­ur sportif prendra des vacances. «Mon plus jeune, Zack, qui a 17 ans, était à Sherbrooke, mais il s’en va en Alberta. Mon plus vieux, Jeremy, est maintenant officier dans la marine et est basé à Victoria, en ColombieBr­itannique. On ira donc les visiter pendant nos vacances.»

Très heureuse de sa nomination dans la catégorie jeunesse grâce à son rôle de Passe-Carreau, GABRIELLE FONTAINE a annoncé la fin des rénovation­s dans sa maison. «On a tout réalisé, mon chum et moi, grâce à YouTube. On fait autre chose dans la vie, mon chum est physiothér­apeute, donc on travaillai­t sur la maison les soirs et les fins de semaine. On est fiers parce qu’on a bien réussi.» Le couple, qui devait se marier en septembre 2020, a décidé de reporter son union à septembre 2022. «On n’a pas encore de date précise, mais ce sera quand on pourra tous se prendre dans nos bras. On veut un mariage assez intime, environ une centaine d’invités, mais ce seront juste des gens très proches.»

Gagnant du trophée de l’animateur de jeux pour la neuvième année consécutiv­e, GUY JODOIN a confié qu’il était complèteme­nt épuisé à la fin du gala, qu’il a coanimé avec Charles Lafortune. «Je suis brûlé, parce que je cumule les projets. Je sors de 24 jours de tournage d’Escouade 99 à Québec et je faisais Le tricheur en même temps. Après, j’ai embarqué sur le gala.» L’été s’annonce aussi très occupé pour l’animateur et comédien, entre les tournages du Tricheur, d’Alertes et les festivités soulignant les 20 ans de Sucré salé. Et il sera aussi de La belle tournée, une nouvelle émission qui mettra en valeur les régions du Québec. De plus, il jouera dans Niagara, le prochain film de Guillaume Lambert, aux côtés de François Pérusse et d’Éric Bernier. Son agente lui a toutefois imposé de prendre deux semaines de vacances à la fin du mois d’août. «Je ne sais pas encore ce que je ferai, parce que j’ai l’habitude de voyager et je ne pense pas qu’on pourra le faire. Mais chose certaine, les deux semaines sont bloquées dans mon agenda.»

Après avoir passé 92 jours dans la maison de Big Brother célébrités et remporté cette première saison, JEAN-THOMAS JOBIN avoue être encore un peu déphasé par cette expérience. «Mes repères sont un peu largués, mais ça va se replacer. J’ai vécu 13 semaines très atypiques; ça reste une expérience de vie importante.» Pour la suite de sa carrière, l’humoriste n’est pas encore fixé sur ses envies. «J’avais une heure de nouveau matériel en rodage avant d’entrer à Big Brother; je vais devoir me replonger là-dedans. En ce moment, je me fais offrir plein de choses. J’ai envie de remonter sur scène, et on verra s’il y a des occasions pour la télé. Je me suis rendu compte que je voulais surtout faire des choses dont j’ai réellement envie.»

Les tournages de District 31 étant terminés depuis quelques semaines, SÉBASTIEN DELORME vient de louer une Van Life pour la saison estivale. «On a essayé ça en fin de semaine. Je suis allé avec ma fille dans le parc régional d’Oka. On a fait des balades à vélo, on s’est promenés sur le bord du lac, on a fait un feu... Dans les prochaines semaines, j’irai me promener à travers le Québec avec ma fille, et si Thomas est disponible, on va l’embarquer avec nous.»

MAUDE GUÉRIN a reçu le trophée Artis pour son rôle dans 5e Rang. «Je suis heureuse, parce que c’est le vote du public, tous ceux qui regardent la série et qui prennent le temps de voter pour ceux qu’ils aiment.» En se désolant pour les jeunes qui font du théâtre et dont le travail est mis sur pause, la comédienne a parlé de son fils, Edmond, qui envisageai­t de devenir comédien. «En ce moment, il explore les techniques de caméra. Il est aussi membre de l’AQTIS. Je ne pense pas qu’il veuille encore devenir acteur; il va davantage travailler derrière la caméra. C’est un être singulier qui va faire plusieurs choses dans sa vie.»

Pour sa deuxième saison, La faille s’ouvre sur la découverte d’un cadavre pris dans le béton d’une salle de bains du Château Frontenac, à Québec. ISABEL RICHER a eu le bonheur de loger au Château pendant toute la durée des tournages. «On a tellement eu froid l’année précédente à Fermont que j’avais l’impression d’être une princesse. C’était un tournage vraiment très agréable.» En vacances depuis la fin mars, la comédienne a prévu de passer son été à la pêche. «Il va y avoir de la truite en juin, et du saumon en juillet!»

Depuis l’annonce de l’arrêt de

Deux filles le matin, MARIE-CLAUDE BARRETTE travaille sur une nouvelle émission. «Je vais revenir dans un nouveau format, avec de nouveaux producteur­s. J’avais besoin d’un nouveau défi. Je saute un peu dans le vide, mais il fallait que ça arrive cette année.» Rien n’est défini, mais sa nouvelle émission aura encore le défi d’outiller les gens, de leur venir en aide et de répondre à leurs questionne­ments. «Pour arrêter de juger, il faut comprendre. Quand on comprend, on est déjà dans une ouverture. Ce que j’aime, c’est de mettre autour d’une table des gens qui ne pensent pas nécessaire­ment la même chose. On a le droit d’entendre des avis diversifié­s.» Son conjoint, MARIO DUMONT, a eu le bonheur de remporter un Artis dans la catégorie Animateur/Animatrice d’émissions d’affaires publiques.

Après une saison particuliè­rement occupée tant du côté de l’animation que de la production, CHARLES LAFORTUNE prendra quelques jours de vacances à la fin du mois de juin. «Mathis ne finira pas son année scolaire. On a loué une maison pour deux semaines. On n’ira pas aux Îles-de-la-Madeleine cette année. On a toujours notre terrain là-bas: on aimerait y faire construire une maison, mais ce sera surtout pour la louer. On n’est pas prêts à aller vivre aux Îles.» L’animateur travaille actuelleme­nt sur la seconde saison de Bijoux de famille. «Beaucoup de choses vont changer, et on va bonifier l’émission, notamment avec un band en direct.»

Même s’il n’a jamais gagné un prix durant sa carrière, SÉBASTIEN BENOIT était néanmoins content d’être en nomination dans la catégorie Animateur/Animatrice d’émissions de jeux pour La poule aux oeufs d’or. «Cet été, je vais célébrer mes 26 ans de télévision. Je suis toujours là et je fais un métier que j’adore.» Sébastien sera de retour à la rentrée pour une septième saison de Coup de food, à Zeste. «Cet été, je serai en tournage, mais on prendra aussi des petites vacances. Si c’est ouvert, on devrait aller dans le coin de Prince Edward County une dizaine de jours pour faire la route des vins, et on en profitera pour aller voir les chutes du Niagara; ma blonde et mon garçon n’ont jamais vu ça.»

Jamais nommée au Gala ARTIS, MARIE SOLEIL DION est toutefois venue présenter un prix durant la soirée. La comédienne, qui amorce les tournages de la prochaine saison de Contre-offre, a dévoilé qu’elle travaillai­t actuelleme­nt sur une nouvelle série avec son amoureux, Louis-Olivier Mauffette. «Avec mon chum et Jean-Philippe Durand, on est encore en écriture pour cette série, qui devrait être tournée à la fin de l’été. Je ne peux pas trop en parler, mais je peux dire que c’est une comédie très cave et que ça va être bon. C’est la première fois que j’écris avec mon chum et ça se passe super bien.»

JEAN-RENÉ DUFORT était heureux de recevoir un trophée ARTIS pour Infoman dans la catégorie Émission de variétés ou de divertisse­ment. «Ce prix représente pour moi la connivence qu’on a eue avec le public en temps de pandémie. Nos cotes d’écoute ont énormément augmenté. Je pense qu’on a servi de soupape aux gens: on leur a permis de rire et de se divertir.» Il se réjouit d’avance de la prochaine saison, au cours de laquelle on devrait vivre plusieurs élections.

En recevant le trophée du meilleur comédien dans une dramatique, MARC MESSIER a eu l’impression que ce prix récompensa­it davantage l’ensemble de sa carrière que son modeste rôle dans La faille. «C’est beaucoup d’amour du public. J’ai eu la chance de jouer dans des choses qui ont été très populaires, et je suis heureux que les gens me soutiennen­t encore.» Le comédien s’apprête d’ailleurs à entamer le rodage de son premier spectacle solo. «Je commence à jouer au mois d’août, au théâtre La Marjolaine, à Eastman. J’ai vraiment hâte! Il faut que je voie si ce que j’ai écrit a de l’allure et si les gens vont trouver ça drôle.»

SÉBASTIEN DIAZ et BIANCA GERVAIS viennent tout juste de reprendre les tournages de la prochaine saison de Format familial. «On va avoir de nouveaux segments et un nouvel habillage, a indiqué l’animateur. J’essaie aussi de nouvelles façons de tourner, et c’est souvent des références à des films d’horreur. Les gens ne le savent pas, mais je vole des idées de plans et de façons de filmer. C’est un carré de sable très amusant pour nous.» Sébastien a actuelleme­nt deux projets sur la table en tant que réalisateu­r, ainsi que plusieurs nouveaux projets pour la télé.

Malgré ses nombreux engagement­s, PIER-LUC FUNK espère pouvoir profiter de son été pour prendre des vacances. «J’ai encore quelques jours de tournage sur L’arracheuse de temps, le film de Francis Leclerc adapté du conte de Fred Pellerin. Je vais recommence­r à être dans le jus à compter de la mi-août, lorsqu’on commencera la deuxième saison de Pour toujours, plus un jour.» Ce printemps, Pier-Luc et son amoureuse, Virginie Ranger-Beauregard, ont acheté un triplex. «On déménage le 30 mai, et on habitera le rez-dechaussée. On a aussi décidé de faire des rénovation­s, qui seront finies bientôt, mais ça ne sera pas une émission de télé! Ma force en réno est d’engager un très bon entreprene­ur, qui a super bien fait ça. Et on a pu compter sur les bonnes adresses de Sarah-Jeanne Labrosse pour trouver rapidement tout ce qu’on voulait.»

Originaire du Nouveau-Brunswick, JOSIANE COMEAU, gagnante de la dernière édition de La Voix, est au Québec pour le prochain mois. «J’ai pris du temps pour composer des chansons et voir quel style de musique je veux. Ce n’est pas encore très clair, mais j’ai une direction: j’aimerais faire quelque chose dans le style new pop, new country. On va voir ce que ça donne. On va travailler en studio durant les prochaines semaines.»

INGRID FALAISE, qui était là pour présenter un prix, a été bouleversa­nte. «La violence conjugale est un sujet difficile à aborder. J’étais contente qu’on nous propose de participer à l’écriture de ce numéro. Je voulais parler aux gens à la maison, parler du cycle de la violence, pour que celles qui le vivent et qui voient cette présentati­on entendent notre voix.» D’un point de vue plus personnel, Ingrid vient de commencer les rénovation­s de son chalet. «Mon chalet, on va le déplacer pour le mettre au fond du terrain. On va se bâtir notre maison de rêve, dans le style scandinave. Le terrain est situé dans la région de Tremblant et, non, ça ne fera pas l’objet d’une émission de télé!»

Dans la salle de presse, après avoir reçu son prix pour son rôle dans District 31, GILDOR ROY était encore hilare en pensant qu’il avait parlé de sa mère, Marguerite Girard, durant ses remercieme­nts. «Elle va m’appeler, et ça va être terrible. Je veux juste dire qu’elle ne fume pas du pot; elle achète de l’huile qui l’aide à s’endormir et elle fait ensuite de beaux rêves. Elle a 81 ans et elle est incroyable! Elle est aussi une très bonne comédienne.» En vacances jusqu’à la fin de juillet, le grand-papa en profitera pour voir ses petits-enfants. «Habituelle­ment, j’aurais voyagé, mais on ne peut pas le faire. Je me suis donc booké d’autres jobs. J’ai deux tournages avant de recommence­r District 31, dont un rôle dans Patrick Senécal présente, mais j’aurai aussi beaucoup de temps pour mes petits-enfants.»

Directeur musical du Gala ARTIS, ANTOINE GRATTON travaille de plus en plus en coulisses. «C’est un choix conscient. Au départ, je faisais beaucoup d’orchestrat­ion en parallèle à ma carrière. Toutefois, j’ai arrêté de faire de la tournée quand j’ai eu des enfants; je voulais être plus présent à la maison. J’avais la chance d’avoir cette autre corde à mon arc pour faire ce choix.» S’il reconnaît que l’énergie de jouer devant un public lui manque, le côté vedette du métier ne l’a jamais attiré. «Même si mes enfants ont maintenant quatre et cinq ans, je ne sais pas si j’aurai envie de repartir en tournée dans quelques années. Je ne dis pas non, tout dépendra si ça me tentera à ce moment-là.» Antoine sera néanmoins de retour dans le choeur de l’émission Y’a du monde à messe, à

Télé-Québec.

MARINA ORSINI se prépare à passer un été très occupé, puisqu’elle sera en tournage pour Une autre histoire, 5 chefs dans ma cuisine et Deuxième chance. «J’ai la chance d’avoir une maison de campagne; l’Estrie sera donc au menu. J’habite aussi à Montréal, et je profite des deux endroits.» Avant le gala, Marina a profité de la fête des Mères pour passer du temps avec son fils, Thomas, qui pourrait suivre ses traces. «C’est surtout la musique qui l’attire, mais il veut aussi jouer. Il suit des cours de piano, des cours de chant. Cet enfant se lève en chantant, se couche en chantant et chante entre les deux. On est bien fiers qu’il ait trouvé sa voie. Pour lui, ce qu’il veut faire dans la vie, c’est clair!»

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