Échos vedettes

L’APPEL DU TERRAIN

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La rentrée est toujours synonyme d’une certaine fébrilité pour CÉLINE GALIPEAU. «C’est ma 15e saison au Téléjourna­l de 22 heures, et il y a toujours une certaine fébrilité à revenir en ondes, à retrouver le public et à reprendre les habitudes. Je travaille le soir; le rythme de vie est différent de celui de l’été. Mais c’est excitant de commencer la saison avec des élections provincial­es.» D’ailleurs, une campagne électorale n’est jamais jouée d’avance, selon elle. «J’ai dit à mon équipe de ne rien tenir pour acquis. Il ne faut pas être conditionn­é par les chiffres et les sondages. Il faut être à l’écoute et être attentif à ce que les autres partis vont faire. Ça va être intéressan­t. Il y a toujours un enjeu qui peut survenir et changer les choses.» Même si elle est établie dans son poste de lectrice de nouvelles, on sent que l’envie du terrain est très présente chez elle. «Ça faisait longtemps que je n’y avais pas été, et je me suis sentie tellement vivante! Raconter nous-mêmes ce qu’on a vu ou ce qu’on a vécu, c’est une chose complèteme­nt différente. Je pense que j’ai besoin des deux pour être heureuse. J’aimerais peut-être faire plus de terrain, mais ce n’est pas toujours facile. Mais si j’ai l’occasion de repartir, je vais le faire.

C’est quelque chose de magique pour moi de me retrouver sur le terrain.»

FRANÇOIS MORENCY s’est amusé durant l’écriture de la cinquième saison de Discussion­s avec mes parents. «Chaque année, je veux que ça s’améliore, que ce soit le texte, le jeu, le montage, la réalisatio­n… J’ai pris confiance en moi en tant qu’auteur, je n’ai plus de filtre ou de crainte.» S’il a du plaisir dans ce travail, il envisage néanmoins une fin possible à cette série. «Je commence à écrire une éventuelle saison 6 et, pour la première fois, je me dis que ça se peut que ce soit la dernière. On verra quand j’aurai écrit huit épisodes si j’ai encore du jus. J’espérais au départ faire trois saisons; c’est déjà plus que ce que je croyais. Je pense déjà à l’après, je ne vais pas refaire une série tout de suite. Je développe deux émissions de variétés, mais je pourrais aussi bien retourner à la radio ou remonter sur scène.»

Pour sa première série en tant qu’auteur, ÉRIC BRUNEAU est allé piger dans son vécu. «C’est difficile d’écrire sans parler de soimême. Dans Avant le crash, il y a certains événements qui me sont arrivés, des affaires que j’ai vues, des histoires qui font partie de ma famille. Je voulais aussi mettre de la lumière sur certains comporteme­nts que je voyais et qui me dérangeaie­nt.» L’ambition, la course à la performanc­e et la quête de pouvoir font partie des thèmes que l’auteur et comédien souhaitait aborder dans cette série coécrite avec sa blonde, Kim Lévesque Lizotte. «C’était facile d’écrire ensemble parce qu’on a des références communes. Elle est meilleure que moi dans la structure d’une série, j’aime aussi ses dialogues. On s’est bien complété.»

En direct de l’univers revient exceptionn­ellement dès le vendredi 9 septembre, à 19 h, pour une durée de 90 minutes, avec une émission spéciale de la rentrée, dans un nouvel environnem­ent. «On a rafraîchi le décor, a dévoilé FRANCE BEAUDOIN. On n’a pas tout changé complèteme­nt. On va reconnaîtr­e les lieux communs comme la pastille, les escaliers, mais on va surtout avoir plus d’écrans, plus de possibilit­és techniques, et plus de coulisses pour nous.» Martin Matte essuiera les plâtres de la saison le 17 septembre. «On aura ensuite Dominique Michel avec une émission en direct, le soir de sa fête. On est vraiment privilégié­s qu’elle ait accepté. Et on continue ensuite avec

Christine Morency, Claude

Meunier, et même Michel

Fugain en novembre.»

Durant son congé de maternité, KIM LÉVESQUE LIZOTTE a lu les premiers textes de son conjoint, Éric Bruneau. «J’ai finalement embarqué dans l’écriture d’Avant

On travaille bien ensemble, même s’il y a parfois des divergence­s d’opinions. On se pousse toujours plus loin à trouver une meilleure idée quand on n’est pas d’accord. On se complète.» Les deux ont aussi un rythme de travail très différent. «Moi, je travaille de nuit, et lui, le matin, après avoir amené Margot, qui a maintenant quatre ans, à la garderie. Il y a une espèce de roulement. Au café du matin, on se fait un petit meeting pour savoir où ça s’en va.» Kim a aussi eu le temps d’écrire une série inspirée par Debbie Lynch-White, Olivia Palacci, Julie de Lafrenière et Sarah Desjeunes Rico. «Ce sont quatre amies qui voulaient jouer ensemble, et j’ai essayé de leur construire de bonnes histoires pour qu’elles puissent s’amuser. J’espère qu’elles vont aimer mes textes.» Cette série sera diffusée l’hiver prochain à Séries Plus.

Les bombes, le crash.

ÉMILE PROULX-CLOUTIER

aura le défi cet automne de jouer deux personnage­s aux antipodes. Dans Avant le crash, à RadioCanad­a, il joue François, qui est le grand ami du personnage d’Éric Bruneau. «La série se passe dans le milieu de la finance, mais ça parle surtout de l’ambition, des relations de travail et de la quête du pouvoir. Les personnage­s sont dans une camaraderi­e assez dure, et les spectateur­s vont être à la fois fascinés et confrontés par leurs relations à la vie, au travail et à leur intimité.» Dans

Les moments parfaits, à TVA, le personnage d’Émile va aussi connaître certains défis. «Louis va retrouver son amour de toujours, qui est incarné par Bianca Gervais. Ils sont plus soudés que jamais, mais un événement va quand même brouiller les cartes dans cette relation. C’est une saison encore enlevante, bien écrite. Plus la série avance, plus le ratio d’événements par épisode augmente. Ça devient encore plus rythmé.» Émile poursuit cet automne sa tournée de spectacles mains nues. «On a fait ce spectacle plus d’une trentaine de fois, la réaction des gens est super belle.

Je suis vraiment ravi.»

SUZANNE CLÉMENT est la comédienne principale de STAT, la nouvelle quotidienn­e de Radio-Canada. «Plus je suis dans le projet, plus j’aime ça. J’ai eu peur au départ. Je me suis mise à faire de la recherche dans les hôpitaux, et ça m’a rassurée. J’ai découvert que c’est un univers qui me connecte beaucoup à l’humanité et qui me passionne. Bizarremen­t, je me sens à ma place dans un hôpital. J’ai suivi des urgentolog­ues pour me préparer et je peux dire que j’en ai vu, des choses.» Sur le plateau, la comédienne veut toujours en savoir plus sur les machines, les gestes à faire pour être le plus crédible possible. «Les tournages sont assez intenses, on fait de bonnes journées et c’est un long marathon. Les situations passent vite, et il faut garder le rythme. C’est comme à l’urgence, les cas passent, et on continue. J’ai aussi trouvé mon rythme, je marche pour apprendre mes textes. Je trouve que ce niveau d’exigence est super stimulant.»

À

VIRGINIE RANGER-BEAUREGARD,

Un beau défi attend qui prendra les traits de Delphine Martin dans la nouvelle quotidienn­e de Radio-Canada, STAT: «J’incarne une travailleu­se sociale. Elle s’occupe de tout l’aspect entourant le retour à la maison, des gens qui ont vécu un traumatism­e, etc. Delphine est aussi la conjointe de Philippe Dupéré (Patrick Labbé), le psychiatre de l’établissem­ent médical.» Son personnage cache néanmoins quelques embûches: «Elle est aux prises avec des troubles alimentair­es. Elle a des défis personnels sur lesquels elle travaille. Elle voudrait avoir des enfants, mais elle doit être en santé.» La comédienne s’estime choyée, car elle partage les scènes avec la majorité des comédiens de la série: «Puisqu’elle fait affaire avec tous les employés de l’hôpital, je peux jouer avec plusieurs acteurs principaux.» Avant de prendre part aux tournages de STAT, elle est allée en Grèce avec son amoureux, Pier-Luc Funk: «C’était vraiment agréable, on a visité quatre îles en tout.» Le couple s’est d’ailleurs amusé avec des capsules vidéos sur Instagram: «C’était l’angle de Pier-Luc, qui aime faire des blagues, avoir des sketchs. Moi, je prenais plus des belles photos.»

LUDIVINE REDING

encaisse un nouveau défi avec la quotidienn­e STAT. «Mon personnage s’appelle Sophia St-Jean. Elle a 25 ans et a le syndrome de l’uniforme, c’est-à-dire qu’elle se met de côté pour son travail et aider les gens. Elle a du caractère et ne veut pas se faire prendre en pitié. Mais tout ça peut la rattraper. Il y a plein de belles facettes d’elle qu’on va découvrir.» Outre l’histoire et le rythme effréné des tournages qui allument la comédienne, elle est heureuse de personnifi­er une vingtenair­e: «C’est la première fois que j’ai la chance de jouer quelqu’un de mon âge. J’étais contente quand l’opportunit­é s’est présentée à moi. Je m’étais fait une visualisat­ion à Noël de ce que j’imaginais comme rôle, et c’est arrivé.» Avant de commencer les tournages, elle a pris quelques semaines de congé avec son conjoint, Antoine. Elle s’est rendue dans la péninsule des Balkans, dont l’Albanie: «Mon chum et moi nous rejoignons beaucoup sur les voyages. On continue de voyager malgré nos horaires chargés.»

MARC-ANDRÉ GRONDIN incarne pour une deuxième saison le personnage de Frédéric Masson dans Doute raisonnabl­e: «Je suis enquêteur aux crimes à caractère sexuel et partenaire d’Alice (Julie Perreault). On apprendra à connaître davantage Frédéric cette saison. Il sera beaucoup plus proactif et audacieux. Une belle dynamique s’installe entre Frédéric et Alice, et on pousse la réflexion plus loin, en explorant les rapports entre les victimes, les agresseurs, etc.» Il apprécie par ailleurs la chimie qu’il a avec sa collègue de travail, Julie Perreault: «C’est un plaisir de travailler avec elle. Lorsqu’on a commencé à tourner, j’avais un bébé de deux semaines. J’étais fatigué. Mais j’avais le sourire dans la figure, car Julie est le fun. Je ferais ça chaque année avec elle.» Quant à la conciliati­on travail et famille — Marc-André et Sarah-Jeanne Labrosse étant les parents de Lawrence, quatre mois —, le comédien affirme qu’il y a une certaine adaptation à avoir: «C’est plus difficile pour ma blonde que pour moi, puisqu’elle allaite. Ça se passe plutôt bien, car les production­s sont conciliant­es et généreuses. On a un bon bébé.»

Depuis le 4 septembre, JEAN-SÉBASTIEN GIRARD est en ondes avec sa propre émission, Jeannot BBQ, qui se veut un projet humoristiq­ue entre la grande entrevue et le bien-cuit. «L’idée est née d’un événement que j’avais créé pour le Zoofest il y a quelques années. La thématique était quatre soirées qui s’articulaie­nt autour de quatre humoristes différents qu’on interrogea­it, à travers plein de surprises et des numéros musicaux. On s’était dit que ce serait intéressan­t de reproduire ça à l’émission.» Pour son émission radio, il est entouré d’humoristes, notamment Philippe-Audrey Larrue-St-Jacques, Rosalie Vaillancou­rt, Véronique Isabel Fillion et Colin Boudrias. Avec Jeannot BBQ, l’animateur réalise un souhait: «Je suis content. J’avais envie de sortir de la chronique et d’avoir, sur la grille régulière, une émission que je peux mener. Lorsque je l’ai présentée aux gens, j’étais émotif.» Aussi, il retrouvera ses complices Jean-Philippe Wauthier et Olivier Niquet pour une nouvelle formule, La journée (est encore jeune). «Il y a quelque chose de sécurisant là-dedans. C’est comme un couple devenu ouvert: il se passe des choses ailleurs, mais tu rentres à la maison et tu te déposes!»

ROSALIE BONENFANT en est à sa troisième saison à Deux hommes en or. «On essaie d’avoir un plateau plus ouvert. Avant, il y avait plus d’entrevues en tête à tête. Cette saison, on va tenter de garder les animateurs ensemble. Nous avons aussi un nouveau décor, très urbain», révèle-t-elle sur les changement­s apportés à l’émission. L’animatrice assume son rôle: l’an dernier, elle a commencé à être réellement à l’aise sur le plateau. «La première année, c’était un défi tellement vertigineu­x pour moi! J’intégrais une équipe qui allait déjà bien sans moi. Et avec le direct, j’avais peur de me mettre un pied dans la bouche! Finalement, je me suis liée d’amitié avec la gang et je me permets plus d’avoir du fun.» Celle qu’on pourra revoir au cinéma dans un projet encore confidenti­el a profité pleinement de la saison estivale. «C’était mon premier été de congé depuis l’âge de 15 ans. J’ai fait tous les festivals!» Et ses amours vont bien! «J’ai plusieurs amis qui sont aussi mes amoureux. Je suis très peace in love et je parle de plus en plus de non-monogamie. Je suis libre, j’ai 25 ans et je suis très bien.»

ANTOINE OLIVIER PILON sera en vedette l’hiver prochain dans la nouveauté L’air d’aller à TéléQuébec, aux côtés de Catherine St-Laurent, Joakim Robillard et Noémie Leduc-Vaudry. Ils joueront quatre amis atteints de fibrose kystique. Jean-Christophe Réhel, qui a scénarisé la série, est lui-même atteint de cette maladie. «Quand j’ai lu les deux premiers épisodes, c’est tout de suite venu me chercher. Ce qu’on avait à jouer, je l’ai plus interprété dans la comédie que dans le drame. Ça faisait longtemps que j’avais envie d’aller vers quelque chose d’un peu plus humoristiq­ue. J’ai été bien servi! C’est un bel équilibre entre le drame et la comédie.» Le comédien travaille actuelleme­nt sur une coproducti­on cinématogr­aphique dont il ne pouvait pas parler. «C’est un beau projet qui vient chercher des artisans d’un peu partout dans le monde.» Le tournage, qui se déroule au Québec, se terminera à la fin de septembre. Par ailleurs, sur le plan sentimenta­l, le jeune homme est célibatair­e.

MARC LABRÈCHE

Même si a vendu sa demeure il y a des mois, lui et sa conjointe, Jennifer Miville Tremblay, n’ont pas encore pu emménager dans leur nouvelle maison. Le déménageme­nt devrait se faire à l’automne. «Je suis en transit en ce moment, parce qu’il y avait des petits problèmes dans la structure de la maison, qui avait besoin d’un peu d’amour. Il a fallu faire faire des travaux pour la consolider.» Le couple a décidé de quitter Montréal pour aller s’établir dans le coin de Rougemont. La pandémie a retardé bien des choses, et l’animateur a laissé savoir que ses projets de mariage sont toujours dans l’air. «J’ai l’impression que ça va se faire sur le fly à un moment donné parce que, même si on ne veut pas que ça soit une grosse affaire — juste la famille et les amis proches —, on ne pourra pas attendre indéfinime­nt les circonstan­ces idéales.» Dès le 10 septembre, il sera entouré de ses collaborat­eurs, Simon Boulerice, Émilie Perreault et Fred Savard, pour la cinquième saison de Cette année-là à Télé-Québec. «Le public revient. On a deux invités plutôt qu’un et on change la formule. Au lieu de rester centrés sur une année et de parler de ce qu’une personne a vécu durant cette période précise, on fait l’inverse: on part de la personne et on traverse les années qui l’ont marquée. Ça nous permet d’inviter plus de monde et de sortir de la formule qui voulait qu’on parle juste d’une année.»

RACHID BADOURI,

qui reprend l’animation du jeu télévisé Les Imposteurs à Noovo pour une deuxième saison, nous a surpris en révélant qu’il avait eu de belles vacances estivales, et surtout qu’elles s’étaient déroulées selon les préférence­s de sa fille. «Ma fille, qui a huit ans et demi, m’a demandé de fermer mon téléphone cellulaire, et c’est ce que j’ai fait. Ç’a été dur, mais je n’ai pas triché. Les seules fois où il a été ouvert, c’est quand on s’est promenés en famille dans des endroits publics. Parfois, elle court et s’éloigne un peu de nous; elle avait le téléphone de sa mère dans sa poche au cas où.» L’humoriste nous a confié qu’il s’envolera bientôt vers un pays étranger, qui pourrait bien être le Maroc, pour les besoins d’un tournage de documentai­re. «C’est un rêve que je réalise avec mon père. On s’en va dans un pays qu’on connaît bien!»

Plus gros succès de la chaîne Historia, la téléréalit­é historique Le lot du diable: La conquête de la mer est de retour avec

comme directeur de la colonie et maître du jeu. «Je suis très emballé par ce projet. En plus, ça se passe en Gaspésie et je suis un Gaspésien de coeur. On retravaill­e l’histoire de la morue salée et je pense que les gens vont apprendre beaucoup de choses durant cette saison. On a eu un mois de tournage là-bas; c’était vraiment le fun. Ma famille est venue passer quelques semaines, et c’était très agréable. Ma fille ne voulait plus repartir!» Le comédien sera également dans la suite de Nous, à Club illico, et il a aussi un petit rôle dans Virage: Double faute, série qui réunit Louis Morissette et Éric Bruneau, et qui sera présentée l’année prochaine à Noovo. «J’ai deux projets en développem­ent, qui devraient débloquer d’ici quelques semaines ou mois. On termine aussi de grosses rénovation­s à la maison. On a dû aller habiter ailleurs pendant les travaux, mais ça achève. On a bien hâte de revenir dans notre nouvelle maison!»

CHAMPAGNE LOUIS

Les prochains mois seront très occupés pour FÉLIX-ANTOINE TREMBLAY qui a de nombreux contrats à la radio et à la télé. «Je suis aussi en tournage pour une émission qui sera en ondes à Radio-Canada en septembre 2023. C’est un gros show qui demande beaucoup de préparatio­n. Je le porterai sur mes épaules puisque j’en serai le seul animateur.» En ce qui concerne sa vie amoureuse, l’animateur et comédien nous a raconté qu’il était en couple depuis plusieurs mois et qu’il était très heureux. «Ça fait huit mois maintenant. Il se prénomme Dany et il est avocat dans le domaine du droit de la constructi­on.» Habitent-ils ensemble? «Non, pas encore, mais c’est tout comme. Je pense que, tous les deux, on veut prendre notre temps. On sent qu’on vit une belle relation qui commence à être solide.» Ni l’un ni l’autre n’ont d’enfants, mais ça pourrait changer. Un projet? «Oui, à 100 %! Je suis rendu à un âge où je sais plus ce que je veux en ce qui a trait aux enfants. L’idée d’être papa m’emballe énormément! Pour moi, c’est non négociable.»

Au cours de l’été, s’est offert plusieurs jours de vacances et en a profité pour voyager. «J’ai eu un mois de congé et j’ai pris le temps de me détacher de la création de mon premier spectacle.» Pour ses moments de farniente, l’humoriste a choisi de voyager dans un tout-inclus, en bonne compagnie. «J’ai amené ma meilleure amie avec moi, parce qu’elle a trois enfants et qu’elle a eu une grosse année. Moi, dans la vie, si je fais des sous, c’est pour gâter les gens autour de moi!» Elle nous a aussi confié qu’elle avait utilisé ces semaines de vacances pour entretenir ses liens avec des proches qu’elle a moins vus au cours des derniers mois en raison de ses nombreux engagement­s. Dès le 16 novembre, à Z, on pourra voir Christine Morency: sans filtre. «C’est un documentai­re à propos de la constructi­on de mon premier one woman show. C’est vraiment un beau souvenir que je me paye!»

MORENCY CHRISTINE

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