INVITÉ AUX FUNÉRAILLES DE LA REINE
Gregory Charles a eu la chance d’assister aux funérailles officielles de la reine Élisabeth II lundi dernier, à Londres. Le lendemain, lors de son passage à Salut Bonjour, il a expliqué comment il s’était retrouvé là. «Il y a 25 ans, le prince Charles, désormais Charles III, était venu faire une tournée au Canada, et j’avais été engagé pour animer des soirées dans différentes villes du pays. On a eu beaucoup de plaisir! À un moment donné, on m’avait pris pour quelqu’un d’autre, et ça l’avait beaucoup fait rire, a-t-il expliqué à Gino Chouinard. Ensuite, chaque fois qu’il revenait au Canada, on me demandait d’aller le rencontrer.» Une sorte de lien amical s’est noué entre les deux hommes, et c’est le bureau du nouveau roi, via le gouvernement, qui l’a invité aux funérailles.
Gregory Charles est arrivé le vendredi soir à Londres, avec le premier ministre Justin Trudeau et une délégation composée d’une soixantaine de personnalités. «Ç’a été une fin de semaine fantastique! La cérémonie à l’abbaye de Westminster était à l’image de la reine: sobre et solennelle. Le protocole était énorme, mais c’était beau.»
chansons, ils suivent encore ce que je fais. Ça a beaucoup de valeur à mes yeux, surtout que, par rapport à tous les autres domaines, le showbusiness est celui qu’on choisit avec le moins de clarté. C’est tellement aléatoire.»
«La plupart des vétérinaires ont su que c’est ce qu’ils voulaient faire à 15 ou 16 ans; pareil pour les ingénieurs. Mais dans le domaine artistique, c’est moins évident. Si tu fais de la musique ou de la danse, tu as une vague impression de ce que tu veux faire.»
Alors qu’on discutait de la longévité de sa carrière, il s’est d’ailleurs souvenu que ce n’est pas forcément la musique qui l’a fait éclore à la télévision. «J’ai commencé en jouant moi-même dans un téléroman. J’écoute parfois les gens parler des vieilles productions, mais c’est nous, ça, les vieilles productions. Ce n’était pas en noir et blanc, mais pas en HD non plus. Ça nous arrangeait bien!»