L’académie du guide de l’auto S’AMUSER ET RESPECTER L’ENVIRONNEMENT
Oyez! Oyez! Amateurs de voitures écoresponsables: L’académie du guide de l’auto revient en ondes pour une troisième saison. Encore une fois cette année, Patrick Benoît sera au volant de l’émission en compagnie du chroniqueur automobile du Guide de l’auto Antoine Joubert et du pilote professionnel Bertrand Godin. Rappelons que cet été, Patrick a conduit près de 5000 km en partant de Montréal pour se rendre jusqu’en Floride (et en revenir) sans consommer un seul litre d’essence, puisqu’il roulait en Tesla, voiture 100 % électrique. Il profitait du temps de recharge de la batterie pour que ses enfants s’amusent et se détendent. Cette saison, 24 célébrités provenant de différentes sphères d’activités s’affronteront en duel de façon amusante. Pour la première émission, seront réunis pour le «combat» les humoristes Richardson Zéphir, qui présente actuellement son premier one man show Zéphir, et Ève Côté, qu’on peut entendre tous les matins en semaine à Rouge dans l’émission La gang du matin dès 5 h 30. Ils conduiront une puissante Ford Mach-E 100 % électrique de chez Brunelle Ford, et recevront les conseils d’Antoine
Joubert et de Bertrand Godin pour conduire comme de vrais professionnels! Ils s’affronteront sur un parcours à obstacles, avec des épreuves parfois un peu difficiles, mais tout cela se fera dans la bonne humeur la plus complète. Cette émission permet vraiment d’apprendre tout en s’amusant. Les passionnés d’automobile et les consommateurs qui pensent changer de voiture et se tourner vers des engins moins énergivores et plus respectueux de l’environnement ont là une émission taillée sur mesure. À voir le samedi 24 septembre à 11 h 30, à TVA.
Quand avez-vous commencé à danser?
Plus jeune, j’ai joué huit ans au hockey. Je viens d’une famille assez défavorisée et j’étais rendu à un niveau qui nécessitait beaucoup de déplacements pour les pratiques et les matchs. Ma mère a dû me retirer du club de hockey. Mais depuis toujours, j’aime danser tout le temps. Ma mère a alors eu l’idée de m’inscrire dans un club de danse. Ç’a finalement été la pire décision financière qu’elle a prise, parce qu’au bout de trois mois, le coach m’a pris sous son aile et m’a intégré dans des troupes de compétition, ce qui impliquait aussi de nombreux voyages.
Quel plaisir le hip-hop vous procure-t-il par rapport au hockey?
Dans le hockey, il y a un esprit d’équipe, mais dans la danse, il y a en plus un laisser-aller qui est vraiment le fun, un côté plus humain que dans n’importe quel autre sport. Il y a aussi un côté créatif plus développé, avec un certain esprit de famille. Ça fait maintenant 10 ans que je suis avec la gang de 5 Alive. Même quand on ne danse pas, on fait toujours des activités ensemble.
Comment s’est passée la transition du hockey à la danse?
Plus jeune, j’ai vécu un peu d’intimidation, jusqu’à ce que mes intimidateurs apprennent que je voyageais dans le monde ou que je passais à la télé grâce à la danse. Ça a pris un petit bout de temps avant que ce soit accepté. Pour moi, mon seul objectif était d’avoir du plaisir. Les filles de 5 Alive ont toutes des personnalités différentes, mais je n’ai eu aucun mal à prendre ma place avec elles. J’ai rapidement pris le rôle de grand frère dans la troupe.
Quel est votre objectif en effectuant un retour dans
Révolution?
C’est de prouver mon amélioration en danse et de montrer mon côté professionnel, vu que c’est maintenant ce que je fais dans la vie et ce que je veux faire à l’avenir. Je me suis aussi lancé le défi de me dépasser. Avec 5 Alive, j’ai atteint le top 8 et, cette année, j’aimerais vraiment me rendre en finale.